… ou la grande tromperie juridique
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traduit et adapté selon un texte de Roland Herlicska
C’est bien connu, la pub nous manipule pour nous faire consommer toujours plus, il est moins connu que les masse-médias nous trompent également.
L’être humain, créé par Dieu ou produit actuel de l’évolution des espèces, selon la vision personnelle de chacun, est une partie de l’univers et à ce titre soumis à des lois qui le dépassent. Composé de matière et d’esprit ou énergie, il naît et meurt au travers de son enveloppe corporelle. Son âme est immuable, éternelle, car l’énergie ne peut se perdre.
Cet être humain, esprit divin ou cet être évolutionniste, le seul sur terre à disposer d’une conscience, ne peut être corseté par un système juridique, car il n’est soumis qu’à la Création ou la Loi Universelle dont il fait partie intégrante. Mais on a fini par créer une fiction autour de cet être, lui donner un nom, un stratagème au moyen duquel il a été possible de l’intégrer à un système juridique par son acceptation tacite d’agir pour cette personne fictive avec ce nom. Il n’existe pas de loi, en France ou sur terre, qui puisse pousser cet être humain à agir pour le compte de cette fiction, de ce nom qu’elle porte et qui devient un homme de paille. Demandez à avoir des preuves, demandez à des juges, des procureurs, des avocats, à la police, aux fonctionnaires de justice partout dans le monde. Personne ne pourra vous fournir cette preuve, car elle n’existe pas.
La connaissance est la base de toute philosophie juridique et des sciences juridiques sur terre, à savoir que l’être humain ne peut être atteint par aucun droit, aucune loi publique sur terre. Pour contrecarrer cet état de fait, on érige autour du nom, de la personne physique cette chose sans droits (§90 BGB = code civil allemand, correspondance française à trouver), une montagne de lois et de décrets pour rendre l’être humain totalement confus, le faire descendre de ce droit naturel et du droit commercial privé – jus cogens(1) ou norme acceptée – qui constituent du droit inaliénable de l’être humain et qui ne peut être négocié, se trouvant dans la hiérarchie des droits directement sous le Créateur ou la Loi cosmique, au niveau du cinquième rang en-dessous de l’être humain qui est celui du droit public national. En plus, on le pousse, dans l’ignorance de sa situation, des innombrables lois et des pratiques dans un tribunal, à se mettre sous la coupe d’un avocat qui n’est qu’au service de ce système de manipulation, parfois lui-même dans l’ignorance la plus totale.
Dans le code civil allemand, il est écrit à l’article 10 sur le nom: « Le nom d’une personne est soumis au droit du pays auquel cette personne appartient. » Vous en avez donc maintenant la preuve. Seuls le nom et la personne sont soumis à ce droit, mais pas l’être humain. Le mot « personne » n’est utilisé ici que comme enveloppe, comme masque que l’on plaque sur l’être humain s’il se laisse faire, afin de représenter ces milliards de caractères, d’émotions, d’apparences, de consciences sous un seul terme et le représenter et le gérer en tant que chose inerte, morte. L’être humain ne peut même pas être défini de manière précise, comment pourrait-il alors être administré et jugé contre sa volonté? Conclusion: Devenons à nouveau des êtres authentiquement humains, et ne nous laissons pas tromper et envahir par des systèmes et cercles juridiques.
Levons-nous et agissons en tant qu’être vivant doté d’une âme, mais non pas pour ces entités fictives, sans vie. Agissons d’être humain à être humain avec toute la courtoisie, le respect, la compréhension et l’amour du prochain, nous n’avons guère besoin de plus. Aidons les plus vulnérables et fragiles.
Pour un être humain authentiquement libre
Roland Herlicska
Roland Herlicska est engagé en Allemagne dans l’autonomie et l’autogestion des êtres humains.
« Quiconque se regarde dans le miroir de l’eau voit tout d’abord sa propre image. Quiconque se tourne vers lui-même risque une rencontre avec son Moi. Le miroir ne flatte pas, il montre fidèlement ce qui le regarde, à savoir ce visage que nous ne montrons jamais au monde, car nous le cachons par la personne, par le masque du comédien. Mais le miroir se trouve derrière le masque et montre le vrai visage. C’est la première leçon de courage sur le chemin intérieur, une leçon qui suffit pour que la plupart la rejette, car le rendez-vous avec soi-même fait partie des choses plutôt désagréables que l’on peut éviter, tant que l’on peut projeter tout ce qui est négatif en soi sur son entourage. »
Carl Gustav Jung – 1875-1961
Psychiatre suisse
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(1) Le jus cogens regroupe les normes impératives de droit international général. Cette notion est définie par la Convention de Vienne du 23 mai 1969 dans son article 53.
Et depuis que je me suis formée à ces nouveautés, je n’écris plus mon nom de famille en lettres majuscules Sofia DELARTE, mais Sofia Delarte, car les lettres majuscules sont réservées aux villes, aux personnes mortes et aux entreprises, toutes trois des choses, pas des êtres humains dotés d’une âme et d’une conscience.
remplissent souvent des fonctions publiques importantes comme la police ou les hôpitaux … et bien sûr ils espéraient que nous n’allions pas remarquer que c’était des entreprises!
Êtres Humains dans leurs recherches de solutions et leurs prises de décisions. Cette structure permettra également de créer des sous-sections de CVAC pour s’adapter à de nouvelles conditions de vie ou d’initiatives à condition que leurs fonctions soient au service de tous les Êtres et qu’elles ne détruisent pas le libre arbitre de chacun.
Dans cette situation, après que le gouvernement- entreprise n’a pas réussi à prouver sa légitimité, tu peux prendre le contrôle et annoncer tes conditions générales sous lesquelles doivent impérativement avoir lieu toutes les interactions entre toi et cette entité.
S’il te semble étrange que les « gouvernements » visibles se comportent encore comme tel, garde à l’esprit… les gouvernements visibles sont des marionnettes d’entreprises et n’ont rien à dire. À ce stade, les anciens propriétaires voudraient nous faire croire que rien n’a changé, « business as usual ». Jusqu’à présent, ils se sont très fortement reposés sur le secret. Ils continueront jusqu’à la fin à faire comme si de rien n’était.
« A tous ceux qui s’interrogent sur la réaction de l’OPPT concernant l’action ou l’inaction de ces personnes qui sont visibles pour nous, ce sont les maîtres-sorciers et les « gros bonnets » derrière le rideau, c’est à eux que je m’adresse… et ils le savent. Dans l’amour absolu et la paix, avec reconnaissance absolue et grâce… Heather. »
Mais dans un monde d’ABONDANCE, conçu par le Créateur pour nous fournir tout ce dont nous avons besoin, ce combat n’était pas un état naturel. C’était plutôt le résultat d’une guerre psychologique menée contre nous. Et cela a bien fonctionné! Elle nous a gardés, nous les humains, sous contrôle, elle nous a fait travailler comme de bons petits esclaves, et elle a fait en sorte que les profits puissent être amassés par les quelques privilégiés qui détenaient le « pouvoir ».
esclaves afro-américains lorsque le système d’esclavage a été aboli… ou lorsqu’on pense aux Allemands au moment de la chute du mur de Berlin en 1989… et quand on pense aux anciens citoyens de l’Union soviétique et à sa désintégration en 1991… ou aux Égyptiens qui ont renversé leur dictateur en 2011… ou aux Islandais qui ont envoyé leurs banquiers et politiciens corrompus en prison et qui ont réécrit leur constitution en 2012…
Avocate, experte en UCC, mère et fer de lance de l’UCC, Heather Ann Tucci-Jarraf (HATJ) s’est servi de la saisie de sa propre maison comme procès exemplaire. Sur la base du processus UCC, elle a remis en question la saisie et elle a découvert, pour faire court, que le système judiciaire américain soutient exclusivement le système d’entreprises.
Les ressources de notre planète, présentées dans les documents enregistrés à l’UCC comme l’or et l’argent dans le monde, ne peuvent par conséquent ni être possédées, ni nous être vendues à un certain prix, ni être dosés sous forme d’unités de « salaire » pour nous asservir, ni être retenues pour créer la pauvreté et le manque. Pour le One People’s Public Trust, nous avons tous une valeur. Les ressources de la planète appartiennent maintenant de manière égale à nous tous. Ceci est notre droit d’aînesse. Et maintenant, cela a force de loi.
(Édition 51) que la conséquence inévitable de la mise en place d’un système de réserve fédérale américaine serait de provoquer de l’inflation et de la déflation économique car son pouvoir pourrait être utilisé par des entreprises qui pourraient en prendre le contrôle.
La fraude des gouvernements est réelle. Et d’ailleurs, par leur incapacité à réfuter les revendications de l’UCC (dépôts) le système de corporations-gouvernement s’est rendu coupable de tromperie, de trahison et d’esclavage. En vertu du droit international, l’OPPT est habilité, au nom de tous les êtres humains, de demander réparation pour de tels crimes. Ils ont ainsi décidé de saisir les entreprises, les banques et les gouvernements responsables et de les dissoudre, de recueillir l’ensemble de leurs avoirs et de leurs infrastructures – y compris de tout l’or et de tout l’argent que les banques possédaient – et de les transférer aux mains des êtres humains. ((L’OPPT))
Tu nais dans un système sans que quiconque t’explique comment il fonctionne. Tu es éduqué et tu apprends à apporter ta contribution au système. Tu travailles jusqu’à l’épuisement dans ce système et en plus, tu dois encore payer des impôts au système. Tu dois suivre les règles du système – qui se base sur l’augmentation de capital et de propriété – ou le système te punit. L’intention est de n’accorder la richesse qu’à quelques-uns et à de très nombreux autres rien du tout. Mais si tu n’aimes pas cela, tu ne peux pas quitter le système. Le système est « propriétaire » de tout, de chacun et partout. Jusqu’à présent, tu n’avais qu’une seule option: participer. C’est comme vivre dans un casino qui n’a pas de sortie. Et la maison gagne toujours.