Dans le monde d’aujourd’hui et particulièrement en France, tout le monde a constamment le téléphone en main. Les gens ne se parlent plus, ils se téléphonent ou s’envoient des sms.
Je ne fais pas partie de ce monde. La plupart du temps, mon téléphone, je ne l’ai pas à portée de main. D’ailleurs, je l’ai acheté, pour l’utiliser principalement en cas d’urgence. En plus, il est de ces appareils tout simples, à 20€ qui peuvent vous réveiller le matin, envoyer de petits sms, car il faut appuyer plusieurs fois sur une touche pour obtenir une lettre et ils transmettent la voix. C’est largement suffisant pour mes besoins, d’autant plus que je déteste téléphoner.
Pourtant, il y a une vingtaine d’années, lorsque je vivais en Allemagne, je n’avais pas une sainte horreur du téléphone, Bon, il n’était pas portable à l’époque et intégré à mon fax. Mais j’ai remarqué qu’avec le temps, je faisais répéter les gens au téléphone, que j’avais du mal à les comprendre et plus ce problème surgissait, plus cela devenait hautement agaçant et gênant pour moi et sans doute aussi pour les autres au bout du fil.
Profitant d’un test auditif qu’a fait un ami qui avait un problème d’ouïe, j’ai demandé à son médecin si je pouvais passer le test également. Résultat: je suis plutôt sourde sur les fréquences situées entre 4000 et 6000 Hertz, précisément celles utilisées par mon portable, selon le médecin.
De ce fait, si vous me demandez mon numéro de portable ou si je vous demande le vôtre, sachez qu’il y a quelques contraintes dont il faut tenir compte, ce n’est pas pour téléphoner ou envoyer de grands sms en remplacement de l’e-mail. Mais bien sûr c’est toujours utile pour une urgence. Merci de votre compréhension.
Et parce que j’ai reçu récemment le texte suivant dans une lettre de diffusion éditée par Jean-Marc Dupuis de Santé-Nature-Innovation, j’aimerais vous le faire lire également.
Cet objet caché dans votre poche pourrit votre santé
Sport, jeu, amour, toutes les activités peuvent être faites sur ordinateur ou téléphone pour moins cher, plus facilement et avec moins de risques que dans la vraie vie. Mais que devient votre vie
quand tous vos jeux, votre sport et vos amours ne se passent plus que sur un écran??? Jouer au foot sur ordinateur ne développe pas les muscles, ni le cœur, ni l’habileté physique. On est aussi privé de l’esprit d’équipe, des amitiés, des bons souvenirs et des franches rigolades. Sur le long terme, ce sont de précieuses expériences de vie qui ne sont pas faites. On ne construit rien, on reste seul… et on augmente son risque de maladie. Mais le phénomène est plus triste encore en amour…
L’amour en boîte de conserve
Les femmes n’en sont pas toujours conscientes, mais pour la plupart des hommes, s’approcher d’elles et essayer d’engager conversation demande un courage énorme. C’est prendre un risque, le risque de l’échec, du rejet qui nous renvoie à nos défauts physiques, notre manque d’esprit, notre incapacité à les faire rire et à les convaincre qu’elles seraient heureuses avec nous… Se prendre « un vent », comme on dit, n’a aucune conséquence pour le « dragueur » de rue. Celui-ci aborde n’importe quelle femme sur son passage et il est prêt à lui mentir effrontément pour la manipuler. Il s’en fiche. Il compte sur les statistiques. Une fois sur 100, une fois sur 200, sa tactique finira par marcher, aussi grossière soit-elle, et cela lui suffit.
Mais pour les autres hommes, c’est différent! La timidité, la pudeur, la crainte de ne pas être à la hauteur paralysent. Combien d’amoureux transis n’oseront jamais révéler leur flamme? Combien de jeunes garçons, sentant confusément les risques de tomber amoureux, préfèrent essayer de se convaincre qu’ils « n’aiment pas les filles »? Autrefois ils étaient obligés, tôt ou tard, de sortir de leur coquille. Aujourd’hui, des sites web les conseillent pour apprendre, enfin!, à se faire aimer et cela peut être utile si les conseils sont corrects. Mais Internet offre aussi de dangereuses illusions d’échappatoire: l’amitié, l’amour et le sexe virtuels. Je n’ai pas besoin de sortir ni de me montrer. Je n’ai pas besoin de rencontrer, ni même de parler. Je n’ai pas besoin de plaire. Je n’ai pas besoin de me confronter aux autres. Je n’ai qu’à cliquer et je peux réaliser, ou du moins me donner l’illusion de réaliser tous mes fantasmes, seul, dans mon coin.
Et le nombre de personnes qui tombent dans le piège est effrayant. Selon une étude publiée dans le Journal of Developmental & Behavioural Pediatrics, les garçons commencent à regarder des films pornographiques sur Internet à partir de 12 ans en moyenne. Ensuite, 63% continuent à les regarder toutes les semaines, et 10% tous les jours (73% en tout, donc!!). À grande échelle, ce sont donc des machines, des mémoires d’ordinateurs qui fournissent à la plupart des hommes occidentaux aujourd’hui non seulement leurs premiers émois affectifs, mais également leur vie affective et sexuelle plus tard, qui ne se fait qu’avec des images et bruitages préenregistrés et reproduits sur écran artificiel. Parallèlement, progresse le nombre des jeunes de 18 à 24 ans qui déclarent souffrir de solitude: ils sont désormais 49% selon une étude TNS-Sofres, à ne pas parvenir à développer assez de liens affectifs satisfaisants avec leur entourage. Est-ce une surprise?
Pire, même dans les cas (de plus en plus rares) où une relation réelle est établie, Internet continue à faire une dangereuse concurrence à la vie du couple: Le spectacle devenu habituel de couples pour qui la présence de l’autre est moins précieuse que les contacts à travers le smartphone.
L’amitié elle-même est compromise. J’ai emmené mes enfants au départ en classe de neige. C’était au petit matin. Des cars étaient là. Je m’attendais à voir des centaines d’élèves surexcités et ravis de partir quelques jours. En réalité, c’était un silence de mort. Dans la pénombre, je n’ai aperçu que de sinistres silhouettes éclairées d’un halo bleuté (la lumière des écrans) occupées à consulter leurs smartphones et à échanger des messages avec des absents. Chacun était enfermé dans son monde, indifférent aux êtres en chair et en os autour de lui. Et tout ça pour quoi? Soi-disant pour entretenir un « réseau social ».
« Que se passerait-il si… »
Voici un texte que j’ai trouvé sur Internet et que j’ai accroché dans mon bureau. « Que se passerait-il si… »
- « Que se passerait-il si, la prochaine fois que je fais la queue dans un magasin, plutôt que de vérifier mes messages, j’engageais la conversation ou souriais aux personnes autour de moi?
- « Que se passerait-il si, la prochaine fois que j’ai deux minutes à attendre à un feu rouge, au lieu de vérifier mes messages, je faisais une prière au Créateur de l’Univers?
- « Que se passerait-il si, la prochaine fois que j’ai 15 minutes de libre devant moi, plutôt que de vérifier mes messages, j’en profitais pour organiser une soirée spéciale avec ma femme?
- « Que se passerait-il si, la prochaine fois que j’ai 30 minutes avant de me coucher, plutôt que de vérifier mes messages, je lisais un chef-d’œuvre de spiritualité qui changerait ma vie et celles des autres autour de moi?
- « Que se passerait-il si, la prochaine fois que je suis à la cantine de mon entreprise, plutôt que de vérifier mes messages, j’engageais une conversation profonde avec un de mes collègues et que je lui posais des questions sur sa vie?
- « Que se passerait-il si, au moment de la publicité à la télévision, plutôt que de vérifier mes messages, je me levais d’un bond et je me jetais sur mes enfants pour les chatouiller et jouer au loup avec eux?
- « Que se passerait-il si, la prochaine fois que j’ai une heure durant le week-end pour me relaxer, plutôt que de vérifier mes messages, je mettais une belle musique et je me laissais emporter par sa beauté?
- « Que se passerait-il si, la prochaine fois que je rencontre une nouvelle personne, plutôt que de me renseigner sur elle grâce à Facebook en rentrant chez moi, je risquais l’aventure et le mystère de la découvrir en passant vraiment du temps avec elle? »
Ce n’est pas qu’Internet soit mauvais en soi. Mais les bienfaits d’Internet ne doivent pas nous faire oublier que la vie est courte, que le monde est vaste, et qu’il y a beaucoup de choses importantes et intéressantes à faire!! Nous sommes des êtres de sang et de chair; nous avons un corps physique ancré dans le monde réel, où nous avons une vie à accomplir. Cela demande de la force, du courage, de l’énergie. Soyez audacieux! Libérez-vous! Ne vous contentez pas d’une vie semi-artificielle via Internet et Facebook. Exigez des expériences intenses, des amitiés vraies, du sport et de l’amour physiques et réels!!
Lexy L.
Cet être humain, esprit divin ou cet être évolutionniste, le seul sur terre à disposer d’une conscience, ne peut être corseté par un système juridique, car il n’est soumis qu’à la Création ou la Loi Universelle dont il fait partie intégrante. Mais on a fini par créer une fiction autour de cet être, lui donner un nom, un stratagème au moyen duquel il a été possible de l’intégrer à un système juridique par son acceptation tacite d’agir pour cette personne fictive avec ce nom. Il n’existe pas de loi, en France ou sur terre, qui puisse pousser cet être humain à agir pour le compte de cette fiction, de ce nom qu’elle porte et qui devient un homme de paille. Demandez à avoir des preuves, demandez à des juges, des procureurs, des avocats, à la police, aux fonctionnaires de justice partout dans le monde. Personne ne pourra vous fournir cette preuve, car elle n’existe pas.
« Quiconque se regarde dans le miroir de l’eau voit tout d’abord sa propre image. Quiconque se tourne vers lui-même risque une rencontre avec son Moi. Le miroir ne flatte pas, il montre fidèlement ce qui le regarde, à savoir ce visage que nous ne montrons jamais au monde, car nous le cachons par la personne, par le masque du comédien. Mais le miroir se trouve derrière le masque et montre le vrai visage. C’est la première leçon de courage sur le chemin intérieur, une leçon qui suffit pour que la plupart la rejette, car le rendez-vous avec soi-même fait partie des choses plutôt désagréables que l’on peut éviter, tant que l’on peut projeter tout ce qui est négatif en soi sur son entourage. »
remplissent souvent des fonctions publiques importantes comme la police ou les hôpitaux … et bien sûr ils espéraient que nous n’allions pas remarquer que c’était des entreprises!
Êtres Humains dans leurs recherches de solutions et leurs prises de décisions. Cette structure permettra également de créer des sous-sections de CVAC pour s’adapter à de nouvelles conditions de vie ou d’initiatives à condition que leurs fonctions soient au service de tous les Êtres et qu’elles ne détruisent pas le libre arbitre de chacun.
Dans cette situation, après que le gouvernement- entreprise n’a pas réussi à prouver sa légitimité, tu peux prendre le contrôle et annoncer tes conditions générales sous lesquelles doivent impérativement avoir lieu toutes les interactions entre toi et cette entité.
S’il te semble étrange que les « gouvernements » visibles se comportent encore comme tel, garde à l’esprit… les gouvernements visibles sont des marionnettes d’entreprises et n’ont rien à dire. À ce stade, les anciens propriétaires voudraient nous faire croire que rien n’a changé, « business as usual ». Jusqu’à présent, ils se sont très fortement reposés sur le secret. Ils continueront jusqu’à la fin à faire comme si de rien n’était.
« A tous ceux qui s’interrogent sur la réaction de l’OPPT concernant l’action ou l’inaction de ces personnes qui sont visibles pour nous, ce sont les maîtres-sorciers et les « gros bonnets » derrière le rideau, c’est à eux que je m’adresse… et ils le savent. Dans l’amour absolu et la paix, avec reconnaissance absolue et grâce… Heather. »
Mais dans un monde d’ABONDANCE, conçu par le Créateur pour nous fournir tout ce dont nous avons besoin, ce combat n’était pas un état naturel. C’était plutôt le résultat d’une guerre psychologique menée contre nous. Et cela a bien fonctionné! Elle nous a gardés, nous les humains, sous contrôle, elle nous a fait travailler comme de bons petits esclaves, et elle a fait en sorte que les profits puissent être amassés par les quelques privilégiés qui détenaient le « pouvoir ».
esclaves afro-américains lorsque le système d’esclavage a été aboli… ou lorsqu’on pense aux Allemands au moment de la chute du mur de Berlin en 1989… et quand on pense aux anciens citoyens de l’Union soviétique et à sa désintégration en 1991… ou aux Égyptiens qui ont renversé leur dictateur en 2011… ou aux Islandais qui ont envoyé leurs banquiers et politiciens corrompus en prison et qui ont réécrit leur constitution en 2012…
Avocate, experte en UCC, mère et fer de lance de l’UCC, Heather Ann Tucci-Jarraf (HATJ) s’est servi de la saisie de sa propre maison comme procès exemplaire. Sur la base du processus UCC, elle a remis en question la saisie et elle a découvert, pour faire court, que le système judiciaire américain soutient exclusivement le système d’entreprises.
Les ressources de notre planète, présentées dans les documents enregistrés à l’UCC comme l’or et l’argent dans le monde, ne peuvent par conséquent ni être possédées, ni nous être vendues à un certain prix, ni être dosés sous forme d’unités de « salaire » pour nous asservir, ni être retenues pour créer la pauvreté et le manque. Pour le One People’s Public Trust, nous avons tous une valeur. Les ressources de la planète appartiennent maintenant de manière égale à nous tous. Ceci est notre droit d’aînesse. Et maintenant, cela a force de loi.
(Édition 51) que la conséquence inévitable de la mise en place d’un système de réserve fédérale américaine serait de provoquer de l’inflation et de la déflation économique car son pouvoir pourrait être utilisé par des entreprises qui pourraient en prendre le contrôle.
La fraude des gouvernements est réelle. Et d’ailleurs, par leur incapacité à réfuter les revendications de l’UCC (dépôts) le système de corporations-gouvernement s’est rendu coupable de tromperie, de trahison et d’esclavage. En vertu du droit international, l’OPPT est habilité, au nom de tous les êtres humains, de demander réparation pour de tels crimes. Ils ont ainsi décidé de saisir les entreprises, les banques et les gouvernements responsables et de les dissoudre, de recueillir l’ensemble de leurs avoirs et de leurs infrastructures – y compris de tout l’or et de tout l’argent que les banques possédaient – et de les transférer aux mains des êtres humains. ((L’OPPT))
Tu nais dans un système sans que quiconque t’explique comment il fonctionne. Tu es éduqué et tu apprends à apporter ta contribution au système. Tu travailles jusqu’à l’épuisement dans ce système et en plus, tu dois encore payer des impôts au système. Tu dois suivre les règles du système – qui se base sur l’augmentation de capital et de propriété – ou le système te punit. L’intention est de n’accorder la richesse qu’à quelques-uns et à de très nombreux autres rien du tout. Mais si tu n’aimes pas cela, tu ne peux pas quitter le système. Le système est « propriétaire » de tout, de chacun et partout. Jusqu’à présent, tu n’avais qu’une seule option: participer. C’est comme vivre dans un casino qui n’a pas de sortie. Et la maison gagne toujours.