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F-10-Le nom, la personne et l’être humain…

… ou la grande tromperie juridique

Article précédent: F-09-Avancer comme des individus unifiés

traduit et adapté selon un texte de Roland Herlicska

C’est bien connu, la pub nous manipule pour nous faire consommer toujours plus, il est moins connu que les masse-médias nous trompent également.

L’être humain, créé par Dieu ou produit actuel de l’évolution des espèces, selon la vision personnelle de chacun, est une partie de l’univers et à ce titre soumis à des lois qui le dépassent. Composé de matière et d’esprit ou énergie, il naît et meurt au travers de son enveloppe corporelle. Son âme est immuable, éternelle, car l’énergie ne peut se perdre.

removing-the-shacklesCet être humain, esprit divin ou cet être évolutionniste, le seul sur terre à disposer d’une conscience, ne peut être corseté par un système juridique, car il n’est soumis qu’à la Création ou la Loi Universelle dont il fait partie intégrante. Mais on a fini par créer une fiction autour de cet être, lui donner un nom, un stratagème au moyen duquel il a été possible de l’intégrer à un système juridique par son acceptation tacite d’agir pour cette personne fictive avec ce nom. Il n’existe pas de loi, en France ou sur terre, qui puisse pousser cet être humain à agir pour le compte de cette fiction, de ce nom qu’elle porte et qui devient un homme de paille. Demandez à avoir des preuves, demandez à des juges, des procureurs, des avocats, à la police, aux fonctionnaires de justice partout dans le monde. Personne ne pourra vous fournir cette preuve, car elle n’existe pas.

La connaissance est la base de toute philosophie juridique et des sciences juridiques sur terre, à savoir que l’être humain ne peut être atteint par aucun droit, aucune loi publique sur terre. Pour contrecarrer cet état de fait, on érige autour du nom, de la personne physique cette chose sans droits (§90 BGB = code civil allemand, correspondance française à trouver), une montagne de lois et de décrets pour rendre l’être humain totalement confus, le faire descendre de ce droit naturel et du droit commercial privé – jus cogens(1) ou norme acceptée – qui constituent du droit inaliénable de l’être humain et qui ne peut être négocié, se trouvant dans la hiérarchie des droits directement sous le Créateur ou la Loi cosmique, au niveau du cinquième rang en-dessous de l’être humain qui est celui du droit public national. En plus, on le pousse, dans l’ignorance de sa situation, des innombrables lois et des pratiques dans un tribunal, à se mettre sous la coupe d’un avocat qui n’est qu’au service de ce système de manipulation, parfois lui-même dans l’ignorance la plus totale.

Dans le code civil allemand, il est écrit à l’article 10 sur le nom: « Le nom d’une personne est soumis au droit du pays auquel cette personne appartient. » Vous en avez donc maintenant la preuve. Seuls le nom et la personne sont soumis à ce droit, mais pas l’être humain. Le mot « personne » n’est utilisé ici que comme enveloppe, comme masque que l’on plaque sur l’être humain s’il se laisse faire, afin de représenter ces milliards de caractères, d’émotions, d’apparences, de consciences sous un seul terme et le représenter et le gérer en tant que chose inerte, morte. L’être humain ne peut même pas être défini de manière précise, comment pourrait-il alors être administré et jugé contre sa volonté? Conclusion: Devenons à nouveau des êtres authentiquement humains, et ne nous laissons pas tromper et envahir par des systèmes et cercles juridiques.

Levons-nous et agissons en tant qu’être vivant doté d’une âme, mais non pas pour ces entités fictives, sans vie. Agissons d’être humain à être humain avec toute la courtoisie, le respect, la compréhension et l’amour du prochain, nous n’avons guère besoin de plus. Aidons les plus vulnérables et fragiles.

Pour un être humain authentiquement libre
Roland Herlicska

Roland Herlicska est engagé en Allemagne dans l’autonomie et l’autogestion des êtres humains.

oppt-fb-miroir« Quiconque se regarde dans le miroir de l’eau voit tout d’abord sa propre image. Quiconque se tourne vers lui-même risque une rencontre avec son Moi. Le miroir ne flatte pas, il montre fidèlement ce qui le regarde, à savoir ce visage que nous ne montrons jamais au monde, car nous le cachons par la personne, par le masque du comédien. Mais le miroir se trouve derrière le masque et montre le vrai visage. C’est la première leçon de courage sur le chemin intérieur, une leçon qui suffit pour que la plupart la rejette, car le rendez-vous avec soi-même fait partie des choses plutôt désagréables que l’on peut éviter, tant que l’on peut projeter tout ce qui est négatif en soi sur son entourage. »

Carl Gustav Jung – 1875-1961
Psychiatre suisse
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(1) Le jus cogens regroupe les normes impératives de droit international général. Cette notion est définie par la Convention de Vienne du 23 mai 1969 dans son article 53.

Et depuis que je me suis formée à ces nouveautés, je n’écris plus mon nom de famille en lettres majuscules Sofia DELARTE, mais Sofia Delarte, car les lettres majuscules sont réservées aux villes, aux personnes mortes et aux entreprises, toutes trois des choses, pas des êtres humains dotés d’une âme et d’une conscience.

S05-How did the Trustees achieve Foreclosure?

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The OPPT is managed by Trustees Heather Ann Tucci-Jarraf, Caleb Skinner and Hollis Randall Hillner. The OPPT was created when the Trustees bonded themselves to – and as a result resumed – the trust that was framed in the original US Constitution of 1776; the constitution that was abandoned when the United States government was corporatized in 1933.

Heather Ann Tucci JarrafThe OPPT then bonded every individual on the planet to this Trust as the Beneficiaries in equity, known as “the One People, created by The Creator”. By doing so, the Trustees framed a Trust that has a superior claim to any other – the Trust between the Creator and the “states of being” of Earth. The “states of being” of Earth are the beneficiaries of the Creator as the custodians of the Creator’s manifestations on Earth. Lawfully speaking, there can be no higher claim than that of the One People’s Public Trust… except for one made by the Creator.

Our planet’s resources – specified in the UCC filings to be the world’s gold and silver – cannot therefore be owned, sold to us for a price, metered out in ‘salary’ quantities to enslave us, or withheld to create poverty or destitution. Under the One People’s Public Trust, we all have equity. Our planet’s resources now belong to each of us in equal measure. That is our birth right. Now it is law.

Between 2011 and 2012, the Trustees lodged a complex series of filings with the UCC on behalf of its Beneficiary. Full details of the OPPT’s filings with the UCC can be found on their website: http://i-uv.com. Be warned: it is very heavy legal reading and designed for the purposes of legal noticing and disclosure, not for communicating OPPT’s actions or their implications to the general public. However the Trustees are working directly with the global ‘alternative media’ community to ensure the public receive accurate, clear and relevant information.

To summarise these documents:

Understanding that corporations, governments and banks are one and the same, an “Order of Finding and Action” was filed against “the debtor”, a legal entity created via the UCC process which encompasses all corporate entities. The filings claim that the Debtor “knowingly, willingly and intentionally committed treason” by “owning, operating, aiding and abetting private money systems” and “operating Slavery Systems used against… citizens without their knowing, willing and intentional consent”.

UCC imageUCC filings are public records, and follow standard administrative processes. When facing a claim, an entity (in this case “the Debtor”) is given the right of rebuttal. If a rebuttal is not received within the required timeframe, a default action then applies, followed by termination of that entity; in this case, on the grounds that it failed to rebut charges of treason by “the One People”.

The important thing to understand here is that a UCC filing stands as law if it remains unrebutted . And in this case, the OPPT Trustees ensured they created a legal situation in which the individuals and entities that form “the debtor” had no ability to rebut . How could they? The claims of slavery and fraud are true.

  • Of course, no rebuttal was received.
  • The ‘Debtor’ is therefore guilty of treason.
  • As remedy, corporations are foreclosed and their assets re-claimed.
  • The wealth of our planet is returned to “the One People”.
  • All corporate debt is erased.
  • “The system” is terminated.
  • The public record shows it.
  • The UCC filing stands as international law.
  • By the system’s own terms, it no longer exists.

We are free!!

S04-UCC, the Bible of Commerce

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The UCC is the “bible” of commerce; it precisely dictates the manner in which international trade and commerce should be enacted. In fact, the entire commercial system pivots around UCC law. In the United States, if your mortgage is foreclosed on or your car is repossessed, the bank uses the UCC process to do so.

UCC imageWhile UCC law remains the domain of corporations and their operatives, one of the trustees of OPPT was professionally involved in UCC law for some time, and understands intimately how the “Powers That Were” manipulated the UCC to control the United States financial system at a very high level.

UCC expert, mother, and OPPT spearhead Heather Ann Tucci-Jarraf used the foreclosure of her own home as a test case. She challenged the foreclosure through UCC process, and in doing so discovered – put very simply – that the U.S. court system invariably supports the corporate system.

Not surprising really, given that 99% of our laws relate to ownership… or commerce.

After exercising extreme prudence, the OPPT concluded that the corporations operating under the guise of the people’s governments and financial systems were committing treason against the people of this planet without the people’s knowing, willing and intentional consent. The final report from the investigation can be found here.

So… in order to foreclose on “the system”, the Trustees of OPPT set a trap using the legal structure provided to them BY “the system”.

A Note on the Reach of the UCC

The Uniform Commercial Code (UCC) was first published in 1952 to harmonize the law of sales and other commercial transactions across the USA, as well as actively discourage the use of legal formalities in making business contracts, to allow business to move forward without the intervention of lawyers or the preparation of elaborate documents. However, it is important to know that the nations and states of this world have somehow became legally registered corporations with the USA Securities and Exchange Commission (SEC). This means that all UCC Rulings are legally applicable to all nations’ corporate entities. and that every nations’ “employees” (citizens) are also recognized and treated as legal corporations and are registered as commercial ‘vessels’, whose ‘value’ can be traded an sold as chattel.