La communille pour tous les exclus

Le profond malaise social que la société actuelle est en train de subir ne peut être comblé par les structures de famille traditionnelle. Bien souvent, ces dernières sont à l’origine même d’une vie blessée…

Les relations humaines ont beaucoup évolué en mal, et il est temps de discuter de nouvelles opportunités. Communille, cela apparaît aisément, est basé sur communauté et famille. Il s’agit d’un regroupement volontaire de personnes de différents âges et sexes en une petite communauté ou une grande famille dans l’idée de la grande famille africaine, mais d’empreinte européenne au niveau de la taille. Ce regroupement est basé sur un choix libre et tendant à trouver pour chacun de ses membres un bien-être intérieur, une protection du moi qui ne se retrouve ni dans les communautés traditionnelles, ni dans les familles.

La transformation de la société fait perdre à bon nombre de personnes leurs repères. Un individualisme croissant, le manque accru de respect face à son prochain, la perte de valeurs morales et éthiques brisent une population grandissante de personnes qui se renferment sur elles-mêmes, tombent dans la dépression et se suicident ou deviennent agressives.

Quand la société va-t-elle réagir? Combien de suicides, quel type de témoignages clairs lui faut-il encore? Va-t-elle continuer encore longtemps à observer, passive, l’effondrement social de ses bases?

La communille est une réponse possible au vent glacial de la solitude. La communille est un regroupement de personnes, non pas parce que le hasard a fait qu’elles naissent dans tel ou tel environnement, dans telle ou telle famille, mais parce qu’elles ont pris la ferme décision, après mûre réflexion, de s’engager dans un petit groupe plus ou moins limité en nombre et d’y promouvoir le bien-être de chacun de ses membres.

Partager un lieu commun n’est pas signe de régression, même si cela peut être vu ainsi par certains, insensibles à la décadence morale et sociale de nos sociétés occidentales. Une société comme la nôtre peut-elle encore survivre longtemps sans accepter un petit retour en arrière, une réflexion sur le passé? Et cette régression est-elle si négative, si elle nous sauve la vie? Productivité, croissance, bénéfices sont les maîtres mots que les politiciens et entrepreneurs utilisent à longueur de journée. La productivité augmente sans cesse, les chômeurs également. Les caisses de l’Etat sont de plus en plus vides et les administrés sont lancés dans une spirale de concurrence et d’écrasement de l’autre comme un ouragan qui ne s’arrête plus de tourbillonner. Et au bout, qu’avons-nous? L’explosion. La violence des exclus, de plus en plus forte et de plus en plus fréquente?

Vivre à une vitesse fulgurante, courir toujours après quelque chose est signe d’immaturité. S’arrêter un peu, revenir un peu en arrière, ne peut être que positif. Cela redonne la force d’entreprendre de nouvelles activités, de repenser son passé pour mieux cerner et modeler le futur. Sans halte, sans repos, il n’y a pas d’évolution possible. Nous continuerons de courir tête baissée, de plus en plus agressifs, de moins en moins scrupuleux et quand nous serons tombés dans le précipice, nous verrons qu’il est impossible d’en sortir, que la terre cède sous nos pieds pour nous emporter. C’est à nous de choisir ce que nous voulons et d’agir en conséquence, car il ne s’agit pas de vouloir, mais de faire.

Economie d’espace et meilleure gestion de la vie

Un nombre incalculable d’appartements ou de maisons de nos jours sont habités par des personnes seules. Ils n’ont pas été conçus pour des individuels et représentent ainsi un gaspillage poignant d’espace vital et de ressources. D’autre part, des études montrent que l’espace bâti par personne augmente.

De par mon passé dans l’économie capitaliste, j’ai été formée à l’efficacité. Je propose donc un nouveau mode de vie pour personnes seules, ma proposition étant basée sur différentes expériences vécues personnellement.

Pensées communautaires

Mes pensées quant à une communauté se retrouvent dans le concept de communille, un mélange entre communauté et famille. Font partie de la communille des personnes ayant les mêmes aspirations et les mêmes valeurs à commencer par le respect de son prochain. La communille est constituée de dix à douze adultes, voire moins s’il y a des enfants. Les membres de la communille passent beaucoup de temps ensemble (travail, loisirs) et décident en commun de l’évolution de leur communille. Elle reste ouverte aux échanges avec d’autres et est résolument tournée vers la société. Dans la famille traditionnelle, l’un décide en général de la route à suivre et les autres doivent s’y conformer. Qui ne s’adapte pas et ne se soumet pas, a perdu, il est rejeté. C’est dans ce milieu que l’on retrouve tous les pommés de la société moderne. Dans une communille, les personnes s’y retrouvent, non pas parce que la force des choses les y a contraintes, mais parce qu’elles se sont choisies pour un projet commun. Quiconque ne s’y plaît plus est libre de quitter et de se choisir un autre lieu de vie et de travail. Pas de pression pour raison de relations familiales.

Le bâtiment sous forme d’un “monastère citoyen”

Définition: un monastère citoyen est un lieu de vie et de travail, composé d’un ou de plusieurs bâtiments et regroupant en son sein des personnes ayant décidé, après mûre réflexion, de vivre le reste de leur vie à travailler sur un projet de réparation sociale.

Le projet de communille “Les Bleuets” envisage de réunir en un lieu et pendant plusieurs mois, voire années, des personnes blessées par la vie (séparation, décès brutal, solitude infernale, etc.).

Le projet “Les Bleuets” n’est pas un projet autonome, il doit être intégré dans sa fonctionnalité au village dans lequel il est inséré. De nouvelles activités seront créées pour les résidents de la maison. Elles auront à voir avec des services de proximité ou du télétravail.

Economie

Dans le cas d’une construction neuve pour une communille, chacune et chacun dispose de son propre budget qu’il/elle gère à sa guise. La caisse commune sert aux besoins communs. Chaque membre de la communille est membre d’une association qui gère la maison de la communille. Chaque membre de la communille est propriétaire ou locataire de sa propre chambre avec douche, WC et kitchenette. Les pièces communes appartiennent à l’association et sont gérées par elle. L’association emploie deux personnes pour les services quotidiens de la résidence tels la cuisine, de préférence bio et fortement végétarienne. D’autres activités telles le nettoyage, le repassage, etc. sont également prises en charge par une personne salariée, de préférence des personnes ne trouvant pas facilement d’emploi rémunéré dans la société capitaliste habituelle. Les membres de la communille payent leur part de ces services. Tous ceux qui veulent faire leur propre cuisine, au sens propre comme au figuré, ne sont pas les bienvenus dans la communille, ils ne partagent pas les mêmes idéaux. La communille permet à ses membres de travailler intensément sur des projets vitaux pour la société, car ils sont délivrés des corvées du ménage et permettent en même temps un emploi rémunéré à quelqu’un qui en a besoin.

Les besoins en chaleur thermique de chaque personne étant différents, chaque appartement sera pourvu de son propre compteur. Mais la maison répondra également à des considérations d’économie d’énergie. De même que les services seront facturés en fonction des besoins. Une personne ayant beaucoup de contacts avec des clients pour son travail et ayant besoin d’une chemise repassée tous les jours, paiera naturellement plus que celle qui se promène en T-shirt tous les jours. Les pièces communes doivent être arrangées de telle sorte que des personnes de l’extérieur puissent y venir également, principalement pour contribuer aux activités socio-politiques et culturelles.

Le travail de gestion de la copropriété devrait être effectué à tour de rôle par les membres de l’association qui sont les occupants des appartements.

La communille est constituée principalement de personnes de la vie active ou de retraités actifs. La présence de deux salariées pendant toute la journée permettrait également d’accepter au sein de la communille une personne handicapée ayant besoin d’être entourée.

En résumé, la communille – pourquoi?

  • Pour une recherche d’efficacité dans le travail et l’espace de vie
  • Le partage des biens matériels
  • Le partage des repas pour la communication
  • Les échanges d’idées
  • Le travail en équipe
  • La réduction de la consommation par le partage
  • Le partage des joies et des peines
  • Un véritable travail pour la société.

Dans la communille, personne n’est la propriété d’un autre. Elle est un compromis entre la petite famille centrée sur elle-même et leurs relations de propriété et les grandes communautés où l’on se perd dans une foule de gens.
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No sex et pourquoi pas?

Je ne sais plus où je suis tombée sur l’article suivant, mais j’éprouve le besoin de le partager et de le commenter.

« Alors que le monde entier semble pris de frénésie sexuelle, certaines personnes lui opposent un certain ennui. Comme si l’érotisme du sexe opposé les indifférait. Peut-être est-ce par choix, ou simplement par manque de disponibilité? Quoi qu’il en soit, leur désintérêt actuel pour la sexualité n’est pas un handicap. On éprouve sans doute une grande satisfaction à ne plus se forcer quand on n’en a pas envie. Mais si on est en couple, cela peut poser un problème au partenaire. »

Si le désintérêt pour la sexualité n’est pas un handicap, pourquoi en discuter? Pourquoi aborder le sujet? Parce que ce qui n’est pas un handicap pour l’un, peut devenir un problème pour l’autre.

« A dire vrai, beaucoup de femmes ne paraissent pas persuadées que le discours ambiant ait modifié les codes de la sexualité en profondeur. La notion de femme-objet, perdure, relayée maintenant par celle de l’homme. Tout comme les enjeux de pouvoir autour de la sexualité. Peut-être que ces femmes ont eu de mauvaises expériences? Peut-être que les ébats ne procurent pas ou plus autant de satisfactions. Mieux vaut alors au final un bon bouquin ou un succulent morceau de chocolat…« 

La conclusion est logique, si le plaisir n’est plus plaisir, on se cherche un autre plaisir. Mais l’article se poursuit par des conseils qui me laissent pantoise.

« Nos conseils: Le sexe n’est pas une obligation, loin s’en faut, et ces cas sont plus fréquents qu’on ne le croit. Toutefois, il est possible de redonner une place à une sexualité plus valorisante. Non pas pour répondre aux diktats de notre société, mais pour le plaisir de vous réapproprier votre corps, sans honte, ni gêne. Il s’agit en premier lieu de positiver une fonction somme toute très naturelle, pour l’être humain… A vous d’en trouver le chemin, à votre rythme. »

Si je suis tellement surprise, c’est que l’auteur du texte plante que le sexe n’est pas une obligation, que le no-sex est plus répandu qu’on ne le croit et malgré cela il ou elle nous parle d’une sexualité plus valorisante. Pourquoi s’intéresser à la valoriser si on ne s’intéresse plus du tout au sujet? Ensuite l’auteur exprime que ce ne serait surtout pas pour répondre à la pression de la société, mais pour le plaisir du corps, sans honte, ni gêne. Mais qui parle de honte et de gêne, si d’autres femmes parlent d’envie, ou de disparition d’envie? Si on ne veut plus, on ne veut plus, se soumettre au désir de l’autre et tout cela sans avoir son propre désir est hors de question pour un être libre.

Je crois aussi que c’est faux de mélanger érotisme et sexualité, on peut avoir une attirance pour l’autre sexe sans vouloir partager ses poils pubiens. Et positiver une fonction, quel intérêt, là aussi, si on n’y est plus intéressé? Non, c’est non, comme avec le harcèlement sexuel dans la rue, comme avec la violence, comme avec le viol, NON C’EST NON! Et il est nécessaire que cela soit accepté.

Agathe C.

Le téléphone et moi

Dans le monde d’aujourd’hui et particulièrement en France, tout le monde a constamment le téléphone en main. Les gens ne se parlent plus, ils se téléphonent ou s’envoient des sms.

Je ne fais pas partie de ce monde. La plupart du temps, mon téléphone, je ne l’ai pas à portée de main. D’ailleurs, je l’ai acheté, pour l’utiliser principalement en cas d’urgence. En plus, il est de ces appareils tout simples, à 20€ qui peuvent vous réveiller le matin, envoyer de petits sms, car il faut appuyer plusieurs fois sur une touche pour obtenir une lettre et ils transmettent la voix. C’est largement suffisant pour mes besoins, d’autant plus que je déteste téléphoner.

Pourtant, il y a une vingtaine d’années, lorsque je vivais en Allemagne, je n’avais pas une sainte horreur du téléphone, Bon, il n’était pas portable à l’époque et intégré à mon fax. Mais j’ai remarqué qu’avec le temps, je faisais répéter les gens au téléphone, que j’avais du mal à les comprendre et plus ce problème surgissait, plus cela devenait hautement agaçant et gênant pour moi et sans doute aussi pour les autres au bout du fil.

Profitant d’un test auditif qu’a fait un ami qui avait un problème d’ouïe, j’ai demandé à son médecin si je pouvais passer le test également. Résultat: je suis plutôt sourde sur les fréquences situées entre 4000 et 6000 Hertz, précisément celles utilisées par mon portable, selon le médecin.

De ce fait, si vous me demandez mon numéro de portable ou si je vous demande le vôtre, sachez qu’il y a quelques contraintes dont il faut tenir compte, ce n’est pas pour téléphoner ou envoyer de grands sms en remplacement de l’e-mail. Mais bien sûr c’est toujours utile pour une urgence. Merci de votre compréhension.

Et parce que j’ai reçu récemment le texte suivant dans une lettre de diffusion éditée par Jean-Marc Dupuis de Santé-Nature-Innovation, j’aimerais vous le faire lire également.

Cet objet caché dans votre poche pourrit votre santé

Sport, jeu, amour, toutes les activités peuvent être faites sur ordinateur ou téléphone pour moins cher, plus facilement et avec moins de risques que dans la vraie vie. Mais que devient votre vie quand tous vos jeux, votre sport et vos amours ne se passent plus que sur un écran??? Jouer au foot sur ordinateur ne développe pas les muscles, ni le cœur, ni l’habileté physique. On est aussi privé de l’esprit d’équipe, des amitiés, des bons souvenirs et des franches rigolades. Sur le long terme, ce sont de précieuses expériences de vie qui ne sont pas faites. On ne construit rien, on reste seul… et on augmente son risque de maladie. Mais le phénomène est plus triste encore en amour…

L’amour en boîte de conserve

Les femmes n’en sont pas toujours conscientes, mais pour la plupart des hommes, s’approcher d’elles et essayer d’engager conversation demande un courage énorme. C’est prendre un risque, le risque de l’échec, du rejet qui nous renvoie à nos défauts physiques, notre manque d’esprit, notre incapacité à les faire rire et à les convaincre qu’elles seraient heureuses avec nous… Se prendre « un vent », comme on dit, n’a aucune conséquence pour le « dragueur » de rue. Celui-ci aborde n’importe quelle femme sur son passage et il est prêt à lui mentir effrontément pour la manipuler. Il s’en fiche. Il compte sur les statistiques. Une fois sur 100, une fois sur 200, sa tactique finira par marcher, aussi grossière soit-elle, et cela lui suffit.

Mais pour les autres hommes, c’est différent! La timidité, la pudeur, la crainte de ne pas être à la hauteur paralysent. Combien d’amoureux transis n’oseront jamais révéler leur flamme? Combien de jeunes garçons, sentant confusément les risques de tomber amoureux, préfèrent essayer de se convaincre qu’ils « n’aiment pas les filles »? Autrefois ils étaient obligés, tôt ou tard, de sortir de leur coquille. Aujourd’hui, des sites web les conseillent pour apprendre, enfin!, à se faire aimer et cela peut être utile si les conseils sont corrects. Mais Internet offre aussi de dangereuses illusions d’échappatoire: l’amitié, l’amour et le sexe virtuels. Je n’ai pas besoin de sortir ni de me montrer. Je n’ai pas besoin de rencontrer, ni même de parler. Je n’ai pas besoin de plaire. Je n’ai pas besoin de me confronter aux autres. Je n’ai qu’à cliquer et je peux réaliser, ou du moins me donner l’illusion de réaliser tous mes fantasmes, seul, dans mon coin.

Et le nombre de personnes qui tombent dans le piège est effrayant. Selon une étude publiée dans le Journal of Developmental & Behavioural Pediatrics, les garçons commencent à regarder des films pornographiques sur Internet à partir de 12 ans en moyenne. Ensuite, 63% continuent à les regarder toutes les semaines, et 10% tous les jours (73% en tout, donc!!). À grande échelle, ce sont donc des machines, des mémoires d’ordinateurs qui fournissent à la plupart des hommes occidentaux aujourd’hui non seulement leurs premiers émois affectifs, mais également leur vie affective et sexuelle plus tard, qui ne se fait qu’avec des images et bruitages préenregistrés et reproduits sur écran artificiel. Parallèlement, progresse le nombre des jeunes de 18 à 24 ans qui déclarent souffrir de solitude: ils sont désormais 49% selon une étude TNS-Sofres, à ne pas parvenir à développer assez de liens affectifs satisfaisants avec leur entourage. Est-ce une surprise?

Pire, même dans les cas (de plus en plus rares) où une relation réelle est établie, Internet continue à faire une dangereuse concurrence à la vie du couple: Le spectacle devenu habituel de couples pour qui la présence de l’autre est moins précieuse que les contacts à travers le smartphone.

L’amitié elle-même est compromise. J’ai emmené mes enfants au départ en classe de neige. C’était au petit matin. Des cars étaient là. Je m’attendais à voir des centaines d’élèves surexcités et ravis de partir quelques jours. En réalité, c’était un silence de mort. Dans la pénombre, je n’ai aperçu que de sinistres silhouettes éclairées d’un halo bleuté (la lumière des écrans) occupées à consulter leurs smartphones et à échanger des messages avec des absents. Chacun était enfermé dans son monde, indifférent aux êtres en chair et en os autour de lui. Et tout ça pour quoi? Soi-disant pour entretenir un « réseau social ».

« Que se passerait-il si… »

Voici un texte que j’ai trouvé sur Internet et que j’ai accroché dans mon bureau. « Que se passerait-il si… »

  • « Que se passerait-il si, la prochaine fois que je fais la queue dans un magasin, plutôt que de vérifier mes messages, j’engageais la conversation ou souriais aux personnes autour de moi?
  • « Que se passerait-il si, la prochaine fois que j’ai deux minutes à attendre à un feu rouge, au lieu de vérifier mes messages, je faisais une prière au Créateur de l’Univers?
  • « Que se passerait-il si, la prochaine fois que j’ai 15 minutes de libre devant moi, plutôt que de vérifier mes messages, j’en profitais pour organiser une soirée spéciale avec ma femme?
  • « Que se passerait-il si, la prochaine fois que j’ai 30 minutes avant de me coucher, plutôt que de vérifier mes messages, je lisais un chef-d’œuvre de spiritualité qui changerait ma vie et celles des autres autour de moi?
  • « Que se passerait-il si, la prochaine fois que je suis à la cantine de mon entreprise, plutôt que de vérifier mes messages, j’engageais une conversation profonde avec un de mes collègues et que je lui posais des questions sur sa vie?
  • « Que se passerait-il si, au moment de la publicité à la télévision, plutôt que de vérifier mes messages, je me levais d’un bond et je me jetais sur mes enfants pour les chatouiller et jouer au loup avec eux?
  • « Que se passerait-il si, la prochaine fois que j’ai une heure durant le week-end pour me relaxer, plutôt que de vérifier mes messages, je mettais une belle musique et je me laissais emporter par sa beauté?
  • « Que se passerait-il si, la prochaine fois que je rencontre une nouvelle personne, plutôt que de me renseigner sur elle grâce à Facebook en rentrant chez moi, je risquais l’aventure et le mystère de la découvrir en passant vraiment du temps avec elle? »

Ce n’est pas qu’Internet soit mauvais en soi. Mais les bienfaits d’Internet ne doivent pas nous faire oublier que la vie est courte, que le monde est vaste, et qu’il y a beaucoup de choses importantes et intéressantes à faire!! Nous sommes des êtres de sang et de chair; nous avons un corps physique ancré dans le monde réel, où nous avons une vie à accomplir. Cela demande de la force, du courage, de l’énergie. Soyez audacieux! Libérez-vous! Ne vous contentez pas d’une vie semi-artificielle via Internet et Facebook. Exigez des expériences intenses, des amitiés vraies, du sport et de l’amour physiques et réels!!

Lexy L.

F-10-Le nom, la personne et l’être humain…

… ou la grande tromperie juridique

Article précédent: F-09-Avancer comme des individus unifiés

traduit et adapté selon un texte de Roland Herlicska

C’est bien connu, la pub nous manipule pour nous faire consommer toujours plus, il est moins connu que les masse-médias nous trompent également.

L’être humain, créé par Dieu ou produit actuel de l’évolution des espèces, selon la vision personnelle de chacun, est une partie de l’univers et à ce titre soumis à des lois qui le dépassent. Composé de matière et d’esprit ou énergie, il naît et meurt au travers de son enveloppe corporelle. Son âme est immuable, éternelle, car l’énergie ne peut se perdre.

removing-the-shacklesCet être humain, esprit divin ou cet être évolutionniste, le seul sur terre à disposer d’une conscience, ne peut être corseté par un système juridique, car il n’est soumis qu’à la Création ou la Loi Universelle dont il fait partie intégrante. Mais on a fini par créer une fiction autour de cet être, lui donner un nom, un stratagème au moyen duquel il a été possible de l’intégrer à un système juridique par son acceptation tacite d’agir pour cette personne fictive avec ce nom. Il n’existe pas de loi, en France ou sur terre, qui puisse pousser cet être humain à agir pour le compte de cette fiction, de ce nom qu’elle porte et qui devient un homme de paille. Demandez à avoir des preuves, demandez à des juges, des procureurs, des avocats, à la police, aux fonctionnaires de justice partout dans le monde. Personne ne pourra vous fournir cette preuve, car elle n’existe pas.

La connaissance est la base de toute philosophie juridique et des sciences juridiques sur terre, à savoir que l’être humain ne peut être atteint par aucun droit, aucune loi publique sur terre. Pour contrecarrer cet état de fait, on érige autour du nom, de la personne physique cette chose sans droits (§90 BGB = code civil allemand, correspondance française à trouver), une montagne de lois et de décrets pour rendre l’être humain totalement confus, le faire descendre de ce droit naturel et du droit commercial privé – jus cogens(1) ou norme acceptée – qui constituent du droit inaliénable de l’être humain et qui ne peut être négocié, se trouvant dans la hiérarchie des droits directement sous le Créateur ou la Loi cosmique, au niveau du cinquième rang en-dessous de l’être humain qui est celui du droit public national. En plus, on le pousse, dans l’ignorance de sa situation, des innombrables lois et des pratiques dans un tribunal, à se mettre sous la coupe d’un avocat qui n’est qu’au service de ce système de manipulation, parfois lui-même dans l’ignorance la plus totale.

Dans le code civil allemand, il est écrit à l’article 10 sur le nom: « Le nom d’une personne est soumis au droit du pays auquel cette personne appartient. » Vous en avez donc maintenant la preuve. Seuls le nom et la personne sont soumis à ce droit, mais pas l’être humain. Le mot « personne » n’est utilisé ici que comme enveloppe, comme masque que l’on plaque sur l’être humain s’il se laisse faire, afin de représenter ces milliards de caractères, d’émotions, d’apparences, de consciences sous un seul terme et le représenter et le gérer en tant que chose inerte, morte. L’être humain ne peut même pas être défini de manière précise, comment pourrait-il alors être administré et jugé contre sa volonté? Conclusion: Devenons à nouveau des êtres authentiquement humains, et ne nous laissons pas tromper et envahir par des systèmes et cercles juridiques.

Levons-nous et agissons en tant qu’être vivant doté d’une âme, mais non pas pour ces entités fictives, sans vie. Agissons d’être humain à être humain avec toute la courtoisie, le respect, la compréhension et l’amour du prochain, nous n’avons guère besoin de plus. Aidons les plus vulnérables et fragiles.

Pour un être humain authentiquement libre
Roland Herlicska

Roland Herlicska est engagé en Allemagne dans l’autonomie et l’autogestion des êtres humains.

oppt-fb-miroir« Quiconque se regarde dans le miroir de l’eau voit tout d’abord sa propre image. Quiconque se tourne vers lui-même risque une rencontre avec son Moi. Le miroir ne flatte pas, il montre fidèlement ce qui le regarde, à savoir ce visage que nous ne montrons jamais au monde, car nous le cachons par la personne, par le masque du comédien. Mais le miroir se trouve derrière le masque et montre le vrai visage. C’est la première leçon de courage sur le chemin intérieur, une leçon qui suffit pour que la plupart la rejette, car le rendez-vous avec soi-même fait partie des choses plutôt désagréables que l’on peut éviter, tant que l’on peut projeter tout ce qui est négatif en soi sur son entourage. »

Carl Gustav Jung – 1875-1961
Psychiatre suisse
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(1) Le jus cogens regroupe les normes impératives de droit international général. Cette notion est définie par la Convention de Vienne du 23 mai 1969 dans son article 53.

Et depuis que je me suis formée à ces nouveautés, je n’écris plus mon nom de famille en lettres majuscules Sofia DELARTE, mais Sofia Delarte, car les lettres majuscules sont réservées aux villes, aux personnes mortes et aux entreprises, toutes trois des choses, pas des êtres humains dotés d’une âme et d’une conscience.

F-09-Avancer comme des « individus unifiés »

Article précédent:
F-08-Des centres d’assistance pour les individus

Le One People’s Public Trust signifie un immense changement de paradigme. Il offre un changement structurel qui permet un changement d’énergie attendu depuis longtemps.

L’OPPT confirme et ratifie notre liberté en tant qu’Être du Créateur pour tous les temps. Il corrige de manière juridique le déséquilibre de la pauvreté, de l’inégalité et du manque d’avenir. Il offre une plate-forme qui nous permet de profiter de toutes les merveilles et ressources de notre planète. Et avec la disparition de la façade des unités entrepreneuriales et des documents ridicules qui protégeaient les prédateurs, nous pourrons à nouveau nous relier au niveau énergétique avec tout le monde. En tant qu’Êtres. Sous notre pleine responsabilité. En égalité. Tels que nous sommes. Libres.

Personnellement, je pense que ce passage nous donne l’impression de vivre entre deux mondes. Les conditions-cadre mises en place par le système qui avait contrôlé toute notre vie, ont été éliminées, mais le changement ne s’est pas encore entièrement manifesté dans le monde extérieur autour de nous. Le processus de transformer les anciennes entreprises en coopératives mondiales ((vous imaginez Google, Apple, Facebook, Amazon, les GAFA en coopératives)) va indéniablement demander un certain temps, mais nous avons dès à présent un pouvoir juridique pour pouvoir rejeter l’ancien système. Et malgré cela, il n’a toujours pas arrêté de prétendre qu’il est réel.

Mais nous avons aussi de nombreuses décisions à prendre!

Qu’allons-nous choisir de FAIRE ou d’ÊTRE dans le nouveau monde?

Quelles sont les possibilités que nous allons choisir de créer avec la structure des CVAC?

Et finalement, qu’allons-nous faire avec l’ancienne classe dominante?

Pour commencer, c’est le devoir de chaque être humain de manifester la liberté que le One People’s Public Trust nous a offerte dans notre vie quotidienne et d’aider les autres à comprendre cette liberté, à l’intégrer et à la manifester également dans leur vie à eux.

-La liberté n’est pas gratuite. Elle n’est possible qu’en lien avec la responsabilité.
-Ce changement commence chez toi
-Fais les bonnes choses maintenant
-Accueille ta responsabilité
-Partage ce savoir

NOUS SOMMES LIBRES

F-08-Des Centres d’Assistance pour les Individus

Article précédent:
F-07-Que faire avec les mesures du vieux système?

Le „service à l’individu“ n’était assurément pas une motivation des anciens propriétaires du „système“. Malgré cela, leurs entreprises Krankenhaus-Hôpitalremplissent souvent des fonctions publiques importantes comme la police ou les hôpitaux … et bien sûr ils espéraient que nous n’allions pas remarquer que c’était des entreprises!

Alors, quelles sont les mesures prévues par l’OPPT pour le service public?

Les CVAC ou Creator’s Value Asset Centres (en français des centres créatifs de valeurs patrimoniales ou plutôt Centre d’Evaluation de Valeurs du Créateur) sont un instrument pensé pour soutenir l’humanité (les gestionnaires du patrimoine de la Terre) et se mettre à son service. Ils constituent un réseau mondial connecté de serviteurs publics qui s’engagent à travailler à tout moment sous leur responsabilité personnelle. Ils formeront un cadre simple de gestion de notre société qui englobe huit domaines fonctionnels.

  1. Les systèmes de savoir
  2. La communication
  3. Les voyages
  4. La transparence
  5. La protection et le maintien de la paix
  6. La responsabilité et le devoir de rendre des comptes
  7. Le trésor public
  8. La reprise en main*

*Il s’agit d’une fonction de transition pour récupérer les ressources, l’infrastructure et la richesse des débiteurs de l’humanité (the One People), conformément aux conditions de l’OPPT ou One People’s Public Trust.

Toute ancienne nation sur cette planète dispose d’une filiale de CVAC qui lui est réservée, à l’exception du Vatican. Chaque filiale de CVAC propose les mêmes services qu’une autre filiale de CVAC dans une autre région de la planète. Chaque être humain sur terre sera soutenu à partir de chaque filiale de CVAC et chaque être humain aura accès aux mêmes ressources et réseaux de soutien. Chaque domaine d’administration de chaque CVAC sera géré par un conseil communal local et dirigé par un représentant du conseil communal (steward), dont la tâche principale est la coordination et le soutien aux Heather Ann Tucci JarrafÊtres Humains dans leurs recherches de solutions et leurs prises de décisions. Cette structure permettra également de créer des sous-sections de CVAC pour s’adapter à de nouvelles conditions de vie ou d’initiatives à condition que leurs fonctions soient au service de tous les Êtres et qu’elles ne détruisent pas le libre arbitre de chacun.

Dans une interview avec The CrowHouse le 15 février 2013, la fiduciaire Heather Ann Tucci-Jarraf a dépeint la structure des CVAC sous la forme d’un « espace sécurisé et protégé pour Toi afin que tu puisses Être et Faire ce que tu aimes … tu ne dois juste pas faire de mal à autrui. »

Nos possibilités sont littéralement illimitées!

Selon sa définition, le système des CVAC est l’opposé des « outils de corruption des entreprises » que nous avions appelées « gouvernement ». La responsabilité, la capacité de valorisation et la transparence sont les pierres angulaires de la structure CVAC. Le CVAC représente pour nous la plate-forme pour simplifier et unifier les lois et pour garantir que les besoins de Tous soient pris en compte. Il empêche que le droit au libre arbitre de tout Être Vivant « sous toute forme » soit blessé, et cela conduit à « maintenir, protéger et valoriser toute création et de mettre ces valeurs au centre de l’intérêt. » Le représentant du conseil communal ainsi que le conseil communal sont remplacés tous les trois mois dans leur fonction afin de garantir que des serviteurs publics soient responsables à jamais devant le Peuple Unifié (the One People).

C’est pour ces raisons que les CVAC sont la base pour une nouvelle gestion de la société. Le système sert maintenant le Peuple et plus l’inverse. Et plus la conscience individuelle et globale ira dans ce sens avec le soutien de plus en plus d’individus (the One People), plus vite le premier pas vers le remplacement des vieilles structures aura été fait.

De la documentation quant à la mise en œuvre et sur les conditions des CVAC étaient disponibles sur le site: peoplestrust1776, mais ce site en anglais n’avait plus lieu d’être, on peut aujourd’hui trouver des informations, toujours en anglais sur le site http://i-uv.com et en français sur d’autres sites et blogs.

F-07-Que faire avec les mesures du « vieux système »?

Article précédent: 06-Les changements et nous

Avec la dissolution du système de dette et d’esclavage, toutes les dettes fictives que tu penses devoir au système ont également été dissoutes. Réfléchis-y un instant! ((Plus d’impôts à payer, plus de crédits à rembourser, mais évidemment il faut s’instruire et apprendre comment cela fonctionne.))

Pour favoriser une transition en douceur – sortir de l’ancien système – tu dois savoir quelles sont les solutions d’aide immédiates que tu peux appliquer face à des mesures que le « vieux système » veut t’imposer.

Dans deux récents articles en anglais de Wake Up World (part I et part II), nous avons parlé d’une méthode pré-OPPT pour que tu puisses imposer ton autorité face au mécanisme de gouvernement-entreprise. Cette méthode est basée sur ta maîtrise du sujet à savoir que premièrement, les anciens gouvernements étaient des entreprises, et d’autre part que la charge de la preuve incombe à ceux qui prétendent avoir l’autorité d’un gouvernement légitime.

Vous pouvez voir cette méthode sur une véritable étude de cas dans la documentation de Scott Bartles sur les questions auxquelles il n’a souvent pas obtenu de réponses du gouvernement australien lorsqu’il voulait importer puis conduire une voiture de collection de Chicago aux USA.

Le nœud du problème est le suivant:

« Vous m’avez fait parvenir une revendication à mon encontre, avec plaisir j’aimerais répondre à votre demande … cependant, je voudrais vérifier que je traite avec les bonnes personnes. S’il vous plaît, veuillez me montrer que vous représentez le vrai gouvernement qui a été nommé à la fondation de ce pays« .

Noeud du problèmeDans cette situation, après que le gouvernement- entreprise n’a pas réussi à prouver sa légitimité, tu peux prendre le contrôle et annoncer tes conditions générales sous lesquelles doivent impérativement avoir lieu toutes les interactions entre toi et cette entité.

Dans un monde post-OPPT, ton approche à l’autorité des prétendus « employés de l’entreprise » (y compris de ceux qui prétendent représenter le gouvernement) sera sensiblement la suivante:

« Je me sentirais heureux de pouvoir répondre à vos demandes … cependant, dans le Code UCC, il y a une revendication qui n’a pas été réfutée et à la suite de laquelle votre unité (entité), dont vous vous prétendez être le représentant, a été saisie. Dorénavant, vous agissez sous votre propre responsabilité. Je vous prie de bien vouloir renoncer à vos revendications à mon encontre. Si vous choisissiez de continuer à vouloir faire valoir cette recommandation, toute future interaction entre nous se fera dans les conditions suivantes… »

Étant donné que cet employé ne représente plus une unité d’entreprise, une note de courtoisie (Courtesy Notice) devrait être envoyée à l’individu, y compris les conditions générales qui décrivent les conditions auxquelles tu accepteras les interactions à venir. Les deux documents informent l’autre partie et lui donnent la possibilité de retirer leur demande illégale à ton encontre. Si cet employé devait continuer à chercher à entrer en contact avec toi par lui-même, alors il déclenche un contrat personnel avec toi car au travers de sa reprise de contact il indique accepter tes conditions.

Si un autre employé de la même entreprise devait entrer en contact avec toi sur le même sujet, répète le même processus avec cet individu. N’oublie pas: les entreprises n’existent plus. Tu ne négocies qu’avec d’autres individus.

Article écrit d’après le blog en allemand: Reveal the Truth

F-06-Les changements et nous

Article précédent: F-05-Et maintenant que faire?

Pourquoi ne puis-je pas voir les changements?

Sois patient … tu vas les voir. Tout d’abord, nous devons voir comment les actions de l’OPPT changent la carte juridique et ce que cela a à voir avec nous.

Est-ce que l’ancien système d’entreprise à l’agonie va-t-il se défendre? Bien sûr qu’il le fera! Vous pouvez le voir tous les jours, les gouvernements contrôlés par des sociétés continuent de faire comme si de rien n’était. Et si tu continues à accepter leur système d’esclavage par la dette, je suis pratiquement certain que les anciens dirigeants (the powers that were) se feront un plaisir de répondre à ta demande avec joie.

Mais ne sois pas dupe: ils savent ce qui est arrivé. Ils savent qu’ils ont été saisis. Ils savent que le jeu est terminé. C’est maintenant considéré comme du droit international.

Nous avons la liberté et de manière pacifique de ne pas coopérer avec l’ancien système. Il est temps d’appliquer cette liberté.

ForeclosedS’il te semble étrange que les « gouvernements » visibles se comportent encore comme tel, garde à l’esprit… les gouvernements visibles sont des marionnettes d’entreprises et n’ont rien à dire. À ce stade, les anciens propriétaires voudraient nous faire croire que rien n’a changé, « business as usual ». Jusqu’à présent, ils se sont très fortement reposés sur le secret. Ils continueront jusqu’à la fin à faire comme si de rien n’était.

La fiduciaire de l’OPPT, Heather Ann Tucci-Jarraf a déclaré récemment dans une interview à Freedom Radio qui résume bien son plan pour avancer dans cette affaire:

Heather Tucci-Jarraf« A tous ceux qui s’interrogent sur la réaction de l’OPPT concernant l’action ou l’inaction de ces personnes qui sont visibles pour nous, ce sont les maîtres-sorciers et les « gros bonnets » derrière le rideau, c’est à eux que je m’adresse… et ils le savent. Dans l’amour absolu et la paix, avec reconnaissance absolue et grâce… Heather. »

Deviens le changement que tu veux voir!

Article écrit d’après le blog en allemand: Reveal the Truth