Rapports d’autres pays
Les statistiques du COVID-19 aux États-Unis (environ 5,3 millions de personnes infectées et 180’000 morts à la fin du mois d’août 2020) ont maintenant été tacitement corrigées de telle sorte que le COVID-19 est répertorié que comme la seule cause de décès pour moins de 10’000 patients. Pour les décès restants (des personnes souvent très âgées), l’autorité sanitaire américaine CDC suppose que le COVID-19 a tout au plus pu être un facteur contributif en raison des nombreuses maladies antérieures. La médecin américaine holistique et chroniqueuse engagée de l’affaire coronavirus, Pam Popper, a informé la Commission qu’il y avait et qu’il y a aux États-Unis d’importantes incitations négatives à diagnostiquer le coronavirus. Il existe des consignes pour enregistrer les patients, dont on suppose, même subjectivement, qu’il ont contracté le COVID-19, en tant que patients contaminés. Pour l’intubation d’un SARS-CoV2 positif, les hôpitaux ne perçoivent pas le tarif standard de 13’000 dollars américains mais le triple de ce montant, soit 39’000 dollars américains. Même les personnes qui n’ont pas été testées du tout parce qu’elles n’ont plus voulu attendre de passer au test dans une longue file sans fin ont reçu un résultat de test positif.
Concernant le taux d’occupation des hôpitaux, Pam Popper rapporte que, contrairement à ce qu’affirme la presse, aucun patient n’a été hébergé dans les parkings de New York. Le navire-hôpital de Donald Trump était pratiquement vide. De plus, alors que les traitements spectaculaires auraient eu lieu dans des lieux atypiques, des hôpitaux totalement intacts avaient été fermés. Par ailleurs, aucune différence n’a été trouvée entre le nombre de personnes testées positives dans les États avec et dans les États sans confinement.
Dr. Luca Speciani a annoncé qu’en Italie il existait également des incitations négatives à diagnostiquer le COVID-19. Par exemple, les proches percevaient une indemnité funéraire de 300 € si l’acte de décès indiquait coronavirus. Dr. Speciani rapporte également qu’environ 7000 personnes qui n’étaient que légèrement malades ont été déplacées des hôpitaux vers des maisons de retraite mal dotées en personnel et y ont été isolées. Cela seul a conduit à de nombreuses infections et à des décès incertains parmi les résidents des foyers. Outre le départ d’un grand nombre d’infirmières étrangères peu avant le confinement, c’était l’une des principales raisons des décès dans les maisons de retraite.
L’entrepreneur Ash Zrl a rapporté du Népal qu’il n’y a eu que 70 décès dus au coronavirus sur 32 millions de Népalais. De plus, 11 personnes se sont suicidées après avoir reçu le diagnostic du coronavirus. Le pays a connu un confinement massif de plusieurs mois avec des effets économiques dévastateurs. Les manifestations ont été interdites, et les étudiants et artistes désespérés étaient entrés en grève de la faim, notamment pour protester contre la disparition de 90 millions de dollars américains destinés à ramener chez eux cinq millions de Népalais de l’étranger.
L’avocat sud-africain Anthony Brinks a signalé un confinement massif pour très peu de décès dus au COVID-19. La vente officielle d’alcool et de cigarettes a été interdite. En conséquence, l’État a subi des pertes financières considérables et est désormais contraint de se rabattre sur les fonds du FMI. L’avocat a exprimé la crainte que l’Afrique du Sud, dans sa détresse économique, ne soit maintenant contrainte à signer un contrat bloqué.
La Suède a surmonté la crise du coronavirus comme l’un des rares pays sans confinement. Le psychologue et journaliste Patrick Plaga rapporte que la vie en Suède s’est déroulée calmement même pendant la crise, et que l’économie n’a été que marginalement affectée. Les jardins d’enfants et les écoles élémentaires étaient ouverts tout le temps, seules les écoles secondaires et les universités étaient fermées.
Les grands événements étaient interdits, les gens auraient respecté un certain nombre de règles d’hygiène (se laver les mains, garder ses distances). Les masques ne sont pas portés en Suède. La majorité des très vieilles victimes du coronavirus vivaient dans des maisons de retraite, où la protection, comme l’a admis le chef de l’Office de Santé et virologue en chef, Anders Tegnell, n’a pas été suffisamment efficace.
Patrick Plaga explique qu’Anders Tegnell, qui avait déjà occupé le même poste dans le cadre de la grippe porcine, faisait constamment attention à apaiser la communication avec la population. Par exemple, le nombre de coronavirus positifs à la télévision ne serait pas présenté de manière cumulative sans soustraction des personnes (estimées) guéries comme en Allemagne, mais plutôt uniquement l’incidence quotidienne, ce qui est une représentation plus réaliste. Patrick Plaga soupçonne qu’Andres Tegnell a également voulu éviter, grâce à son attitude apaisante, une panique de vaccinations comme cela s’est fait dans le cas de la grippe porcine et qui a entraîné de nombreux dommages (notamment la narcolepsie et des maladies auto-immunes). Ce qui est remarquable en Suède, c’est qu’en cas d’urgence sanitaire, le chef de l’Office de Santé devient le seul responsable et donc qu’aucune influence politique sur les décisions de politique de santé n’est possible.
La journaliste allemande Gaby Weber envoie son rapport depuis l’Argentine. Le pays souffre d’un régime de confinement si massif que même emprunter un œuf à un voisin pourrait entraîner une peine d’emprisonnement. Les tribunaux sont fermés depuis cinq mois, de sorte qu’aucune protection juridique ne peut être obtenue. Au cours du confinement, de nombreux criminels ont été libérés, dont certains ont maintenant commis de nouveaux crimes. Le confinement a été imposé alors qu’il n’y avait aucune preuve de décès par coronavirus. Les Argentins sont désespérés car leur économie est déjà totalement en panne.