F-04-UCC, la vraie bible du commerce

Article précédent: F-03-Quand nos gouvernements sont-ils devenus des sociétés?

Ce manuel est réellement la bible du commerce. Il détermine exactement la nature de l’échange international de biens et services. En fait, l’ensemble du système commercial tourne autour de la loi de l’UCC. Si ton prêt hypothécaire est engagé ou ta voiture t’est confisquée, la banque utilise le processus de l’UCC à cet effet.

Mais la loi de l’UCC est pas enseignée durant les études juridiques. Elle reste dans l’emprise de contrôle des sociétés et de leurs fonctionnaires qui n’informent le personnel de leurs services juridiques que dans les lois UCC qu’il a besoin de connaître afin de maintenir le savoir sur ce mécanisme important « en leur sein » (« in house »). Mais il s’avéra que pour des raisons professionnelles, l’un des fiduciaires de l’OPPT ((HATJ)) avait, pendant un certain temps, été intégré au droit UCC et avait tout de suite compris comment les « anciens dirigeants au pouvoir » (the powers that were) avaient manipulé l’UCC afin de contrôler le système financier des États-Unis à un niveau très élevé.

Heather Ann Tucci Jarraf formalAvocate, experte en UCC, mère et fer de lance de l’UCC, Heather Ann Tucci-Jarraf (HATJ) s’est servi de la saisie de sa propre maison comme procès exemplaire. Sur la base du processus UCC, elle a remis en question la saisie et elle a découvert, pour faire court, que le système judiciaire américain soutient exclusivement le système d’entreprises.

Rien de surprenant si l’on considère que 99 % de nos lois sont en lien avec le droit de propriété, ou avec le commerce.

Après des investigations particulièrement minutieuses, l’OPPT est parvenu à la conclusion que les corporations et entreprises qui opèrent sous la bannière de gouvernements et de systèmes financiers, trahissent les êtres humains, sans leur accord explicite, volontaire et conscient. Le rapport final de l’enquête peut être trouvé en anglais sur Internet. Autrefois sur le site de l’OPPT, il est aujourd’hui sur le site i-uv.com ((ce qui signifie « Moi-Valeur Universelle)) sous OPPT Absolute.

Finalement … pour saisir « le système », les fiduciaires de l’OPPT ont dû poser un piège en utilisant la structure légale que leur a offert le « système ».

Remarque sur la portée de l’UCC

Le Code Commercial Uniforme (UCC) a été publié pour la première fois en 1952 afin d’harmoniser les lois du commerce et d’autres transactions commerciales au travers des USA, mais également pour décourager activement l’utilisation de formalismes légaux dans les contrats d’affaires afin de permettre aux affaires de progresser sans l’intervention de juristes ou la préparation de documents élaborés. Cependant, il est important de savoir que les nations et les États de ce monde sont devenus d’une certaine manière des corporations légalement enregistrées aux USA auprès de la Commission de la Sécurité et des Échanges (SEC). Ceci signifie que tous les articles de l’UCC sont légalement applicables à toutes les nations et leurs entités gouvernementales, et que tous les « employés » (citoyens) de chaque nation sont également reconnus et traités comme corporation légale et enregistrés sous la forme de « vaisseaux » commerciaux dont la « valeur » peut être commercialisée et vendue comme bien meuble.

Comment les fiduciaires ont-il réussi les saisies?

Le One People’s Public Trust (OPPT) est géré par les fiduciaires Caleb Skinner, Hollis Randall Hillner et Heather Ann Tucci-Jarraf. L’OPPT a été créé dès le moment où les fiduciaires se sont déclarés responsables du Fonds d’affectation spéciale; en conséquence, le Fonds a été intégré à la Constitution originale des États-Unis de 1776, celle qui a été abandonnée lorsque le gouvernement des États-Unis a été converti en une société en 1933.

Puis l’OPPT a très justement relié chaque individu sur cette planète en tant que bénéficiaire du fonds d’affectation spéciale, connu sous le nom de « One People, créé par le Créateur » ((ou la Nature si vous préférez)). Ce faisant, les fiduciaires ont constitué un fonds qui a une revendication de rang supérieur à toute autre – le Fonds d’affectation spéciale entre le Créateur/la Nature et les « formes de l’Être » sur Terre. « Les formes de l’Être » sur terre sont à la fois les bénéficiaires du Créateur mais aussi les gestionnaires du patrimoine des manifestations créatives sur la terre. Légalement, cela signifie qu’il ne peut y avoir de revendication plus élevée que celle du One People’s Public Trust… à moins qu’elle vienne du Créateur lui-même.

FB-UCCLes ressources de notre planète, présentées dans les documents enregistrés à l’UCC comme l’or et l’argent dans le monde, ne peuvent par conséquent ni être possédées, ni nous être vendues à un certain prix, ni être dosés sous forme d’unités de « salaire » pour nous asservir, ni être retenues pour créer la pauvreté et le manque. Pour le One People’s Public Trust, nous avons tous une valeur. Les ressources de la planète appartiennent maintenant de manière égale à nous tous. Ceci est notre droit d’aînesse. Et maintenant, cela a force de loi.

Entre 2011 et 2012, les fiduciaires opérant pour le compte des bénéficiaires ont fait enregistrer une série détaillée de revendications (dépôts) dans l’UCC. ((Ils ont une série de numéro et de lettres pour les différencier.)) On peut trouver tous les détails complets de ces revendications de l’OPPT auprès de l’UCC sur des sites Internet, surtout en anglais et notamment sur le site https://i-uv.com où l’on trouve des documents d’aide pour avancer dans son apprentissage personnel. N’oubliez pas, chacun est responsable, donc aussi de s’informer. Quoi qu’il en soit, les fiduciaires travaillent directement avec les « médias alternatifs » de la communauté mondiale pour veiller à ce que le public reçoive des informations exactes, claires et pertinentes.

Un résumé des documents

Après avoir compris que corporations, entreprises, gouvernements et banques sont la même chose, une « demande de réfutation » (« Ordre de recherche et d’action ») avait été déposée auprès du « débiteur », une personne morale (entité) qui avait été créée de toutes pièces à l’aide du processus de l’UCC et qui comprenait l’ensemble des unités de corporations et d’entreprise. Cette demande exige que le débiteur « accepte d’avoir commis une trahison délibérée, volontaire et consciente » au moyen de « la possession, du commerce, du soutien et de l’aide aux systèmes financiers privés » ainsi qu’au moyen de « systèmes esclavagistes actifs qui sont utilisés contre… les citoyens sans leur consentement explicite, volontaire et conscient. »

Les revendications UCC (dossiers) sont des documents publics et suivent des processus de gestion standardisés. Si une demande est déposée, une entité (dans le cas présent « le débiteur » ((les pouvoirs du passé)) a le droit de réfuter, d’apporter la preuve contraire. Si cette réfutation ou preuve contraire n’est pas présentée dans un certain délai, il s’en suit une plainte par défaut/action en cessation (default action), suivie par l’élimination pure et simple de cette entité ((la forclusion)); dans le cas présent, c’était en raison du fait qu’on n’a pas réfuté l’accusation de trahison émise par « the One People ».

Il est maintenant important de comprendre qu’une revendication dans le cadre de l’UCC devient une loi si elle n’est pas réfutée. Et dans notre cas, les fiduciaires de l’OPPT se sont assurés de créer une situation juridique telle que les personnes et entités qui constituent « le débiteur » n’aient aucune possibilité de réfutation. Comment le pourraient-elles d’ailleurs? Les charges d’esclavage et de tromperie sont réelles.

Bien sûr, aucune réfutation n’a été reçue.

  • Le « débiteur » est donc coupable de trahison.
  • En guise de réparation, les entreprises et corporations ont été saisies et leurs actions récupérées.
  • La prospérité de notre planète retourne aux mains du peuple (« the One People »).
  • Les dettes de la société sont effacées.
  • « Le système » est dissous; Les documents publics le prouvent.
  • Les revendications UCC (dossiers) sont considérés comme du droit international.
  • Les conditions propres au système ont fait que le système n’existe plus.
  • Une déclaration de presse du 4 février 2013 en anglais se trouve sur Internet.

Nous sommes libres!!

Article écrit d’après le blog en allemand: Reveal the Truth