Voici le sort que vous avez réservé à vos enfants et petits-enfants, car vous continuez à vous bercer d’illusions
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Voici le sort que vous avez réservé à vos enfants et petits-enfants, car vous continuez à vous bercer d’illusions
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Rapports d’autres pays
Les statistiques du COVID-19 aux États-Unis (environ 5,3 millions de personnes infectées et 180’000 morts à la fin du mois d’août 2020) ont maintenant été tacitement corrigées de telle sorte que le COVID-19 est répertorié que comme la seule cause de décès pour moins de 10’000 patients. Pour les décès restants (des personnes souvent très âgées), l’autorité sanitaire américaine CDC suppose que le COVID-19 a tout au plus pu être un facteur contributif en raison des nombreuses maladies antérieures. La médecin américaine holistique et chroniqueuse engagée de l’affaire coronavirus, Pam Popper, a informé la Commission qu’il y avait et qu’il y a aux États-Unis d’importantes incitations négatives à diagnostiquer le coronavirus. Il existe des consignes pour enregistrer les patients, dont on suppose, même subjectivement, qu’il ont contracté le COVID-19, en tant que patients contaminés. Pour l’intubation d’un SARS-CoV2 positif, les hôpitaux ne perçoivent pas le tarif standard de 13’000 dollars américains mais le triple de ce montant, soit 39’000 dollars américains. Même les personnes qui n’ont pas été testées du tout parce qu’elles n’ont plus voulu attendre de passer au test dans une longue file sans fin ont reçu un résultat de test positif.
Concernant le taux d’occupation des hôpitaux, Pam Popper rapporte que, contrairement à ce qu’affirme la presse, aucun patient n’a été hébergé dans les parkings de New York. Le navire-hôpital de Donald Trump était pratiquement vide. De plus, alors que les traitements spectaculaires auraient eu lieu dans des lieux atypiques, des hôpitaux totalement intacts avaient été fermés. Par ailleurs, aucune différence n’a été trouvée entre le nombre de personnes testées positives dans les États avec et dans les États sans confinement.
Dr. Luca Speciani a annoncé qu’en Italie il existait également des incitations négatives à diagnostiquer le COVID-19. Par exemple, les proches percevaient une indemnité funéraire de 300 € si l’acte de décès indiquait coronavirus. Dr. Speciani rapporte également qu’environ 7000 personnes qui n’étaient que légèrement malades ont été déplacées des hôpitaux vers des maisons de retraite mal dotées en personnel et y ont été isolées. Cela seul a conduit à de nombreuses infections et à des décès incertains parmi les résidents des foyers. Outre le départ d’un grand nombre d’infirmières étrangères peu avant le confinement, c’était l’une des principales raisons des décès dans les maisons de retraite.
L’entrepreneur Ash Zrl a rapporté du Népal qu’il n’y a eu que 70 décès dus au coronavirus sur 32 millions de Népalais. De plus, 11 personnes se sont suicidées après avoir reçu le diagnostic du coronavirus. Le pays a connu un confinement massif de plusieurs mois avec des effets économiques dévastateurs. Les manifestations ont été interdites, et les étudiants et artistes désespérés étaient entrés en grève de la faim, notamment pour protester contre la disparition de 90 millions de dollars américains destinés à ramener chez eux cinq millions de Népalais de l’étranger.
L’avocat sud-africain Anthony Brinks a signalé un confinement massif pour très peu de décès dus au COVID-19. La vente officielle d’alcool et de cigarettes a été interdite. En conséquence, l’État a subi des pertes financières considérables et est désormais contraint de se rabattre sur les fonds du FMI. L’avocat a exprimé la crainte que l’Afrique du Sud, dans sa détresse économique, ne soit maintenant contrainte à signer un contrat bloqué.
La Suède a surmonté la crise du coronavirus comme l’un des rares pays sans confinement. Le psychologue et journaliste Patrick Plaga rapporte que la vie en Suède s’est déroulée calmement même pendant la crise, et que l’économie n’a été que marginalement affectée. Les jardins d’enfants et les écoles élémentaires étaient ouverts tout le temps, seules les écoles secondaires et les universités étaient fermées.
Les grands événements étaient interdits, les gens auraient respecté un certain nombre de règles d’hygiène (se laver les mains, garder ses distances). Les masques ne sont pas portés en Suède. La majorité des très vieilles victimes du coronavirus vivaient dans des maisons de retraite, où la protection, comme l’a admis le chef de l’Office de Santé et virologue en chef, Anders Tegnell, n’a pas été suffisamment efficace.
Patrick Plaga explique qu’Anders Tegnell, qui avait déjà occupé le même poste dans le cadre de la grippe porcine, faisait constamment attention à apaiser la communication avec la population. Par exemple, le nombre de coronavirus positifs à la télévision ne serait pas présenté de manière cumulative sans soustraction des personnes (estimées) guéries comme en Allemagne, mais plutôt uniquement l’incidence quotidienne, ce qui est une représentation plus réaliste. Patrick Plaga soupçonne qu’Andres Tegnell a également voulu éviter, grâce à son attitude apaisante, une panique de vaccinations comme cela s’est fait dans le cas de la grippe porcine et qui a entraîné de nombreux dommages (notamment la narcolepsie et des maladies auto-immunes). Ce qui est remarquable en Suède, c’est qu’en cas d’urgence sanitaire, le chef de l’Office de Santé devient le seul responsable et donc qu’aucune influence politique sur les décisions de politique de santé n’est possible.
La journaliste allemande Gaby Weber envoie son rapport depuis l’Argentine. Le pays souffre d’un régime de confinement si massif que même emprunter un œuf à un voisin pourrait entraîner une peine d’emprisonnement. Les tribunaux sont fermés depuis cinq mois, de sorte qu’aucune protection juridique ne peut être obtenue. Au cours du confinement, de nombreux criminels ont été libérés, dont certains ont maintenant commis de nouveaux crimes. Le confinement a été imposé alors qu’il n’y avait aucune preuve de décès par coronavirus. Les Argentins sont désespérés car leur économie est déjà totalement en panne.
La capacité déclarative du test PCR
Actuellement, la présence du SARS-CoV2 se vérifie au moyen d’un test PCR. Celui-ci traque de minuscules segments viraux de gènes, les réplique encore et encore et les rend ainsi mesurables. A partir de ces segments de gènes ainsi reproduits et détectés, des conclusions sont tirées sur la présence de virus préalablement définis comme porteurs de tels segments. Plus ces sections sont sélectionnées et trouvées de manière unique et typique, plus la présence du type de virus recherché est probable.
Des sections individuelles du virus SARS-CoV2 tout comme le gène E codant l’enveloppe virale sont présentes depuis longtemps dans de nombreux coronavirus répandus à travers l’Europe. Si, comme suggéré par l’OMS depuis un certain temps et pratiqué par de nombreux laboratoires, seuls ces segments de gènes moins spécifiques sont déterminés, le test PCR est particulièrement souvent un faux positif.
En raison de la pratique confuse du test PCR, il est pratiquement impossible à l’heure actuelle d’émettre un avis sensé quant à l’importance épidémiologique des virus SARS-CoV2. Selon la réponse unanime des spécialistes et laboratoires interrogés par la Commission Coronavirus, aucune évaluation fiable du risque d’infection et donc aucune mesure pour limiter une telle infection ne peut être déduite des seuls résultats des tests PCR.
Le biochimiste et prix Nobel Kary Mullis a développé le test PCR en 1983 pour amplifier des séquences d’ADN in vitro. Selon Mullis, son test n’est pas adapté à des fins de diagnostic. Comme la biologiste, Prof. Ulrike Kämmerer, l’immunologiste et virologue Prof. Dolores Cahill, l’immunologiste Prof. Pierre Capel et le microbiologiste Clemens Arvay ont déclaré de manière unanime au sein de la Commission Coronavirus que le test ne permet, à l’heure actuelle, toujours pas de déterminer si une infection virale active est présente. Les séquences de gènes trouvées par le test peuvent tout aussi bien provenir d’une infection virale déjà surmontée ou d’une contamination qui n’entraîne pas du tout une infection.
Bon nombre de différents tests SARS-CoV2 actuellement utilisés et encore non officiellement validés réagissent, comme l’a par exemple démontré le test inter–laboratoire INSTAND de l’organisme d’accréditation allemand dès avril 2020, dans le cas d’un échantillon blanc, il y a 1,4% de faux positifs, et avec un échantillon dopé au coronavirus connu HCoVOC43, il y a même jusqu’à 7,6% de faux positifs. Il existe différents tests en circulation qui, selon l’essai circulaire, indiquent un résultat faussement positif dans 20 à 50% des tests, ce qui, comme décrit, peut également être dû au fait que certains d’entre eux ne ciblent que le gène E moins spécifique.
De nombreux laboratoires allemands utilisent des tests maison sur la base des protocoles de test publiés par l’OMS (comparez par exemple le test dit de Drosten du 17 janvier 2020). Conformément aux normes européennes, ceux-ci nécessitent généralement une validation officielle. Dans la pratique, cependant, cette exigence est largement supprimée en raison de « l’urgence ».
Selon ce qui précède et en date du 27 août 2020, il est impossible de déterminer combien des 239’507 personnes testées positives par le RKI étaient réellement infectées. Il en va de même pour les 9288 qui ont été signalées à ce jour en relation avec des décès dus au coronavirus.
La dangerosité du virus
Il est rapidement devenu évident que les craintes que le SRAS-CoV2 puisse être nettement plus dangereux qu’une grippe en termes de transmissibilité, de charge pathologique et de mortalité se sont avérées inexactes. Entre-temps, de nombreuses études ont été menées à ce sujet. Dès avril 2020, l’Office de Santé italien a annoncé que l’âge moyen des personnes décédées était de 83 ans et que presque personne n’était décédé sans maladies antérieures. Certains des morts avaient jusqu’à trois maladies antérieures, certaines graves, en particulier dans la région cœur-poumon. En Allemagne également, la saison grippale de cette année ne montre aucune donnée extraordinaire de morbidité ou de mortalité, que ce soit en ambulatoire ou en hospitalisation. Il est toutefois surprenant de constater une surmortalité temporaire au cours des premières semaines du confinement. Dans l’ensemble, les cabinets médicaux et les cliniques ont été beaucoup moins sollicitées, et les pompes funèbres n’avaient pas non plus autant à faire cette année qu’en 2018.
A titre de comparaison: Selon l’Institut Robert Koch (RKI), la vague de grippe de 2017/18 a conduit en Allemagne, malgré le vaccin anti-grippe, à une surmortalité de 25’100 personnes de toutes tranches d’âge. En 2018, il y a également eu près de 30’000 décès par accident, dont 3’000 victimes de la circulation. Environ 15’000 personnes meurent chaque année en Allemagne d’infections nosocomiales.
Les symptômes du COVID-19 correspondent à ceux de la grippe, d’autres phénomènes comme les microthromboses observées par le pathologiste hambourgeois, Pr Klaus Püschel, dans le cadre d’autopsies réalisées contrairement aux recommandations du RKI (Institut Robert Koch) ne se sont pas, jusqu’à présent, révélées comme un symptôme originel du SRAS-CoV2. Ils sont le résultat d’une réaction immunitaire excessive ou mal contrôlée et sont également connus comme complications d’autres maladies virales. Après des recherches effectuées par le pneumologue et épidémiologiste, Dr. Wolfgang Wodarg, il n’existe, en raison du manque d’autopsies chez les patients de grippe immobilisés (par exemple dans les maisons de retraite), pour lesquels on pourrait s’attendre à un résultat similaire, pas d’études comparatives en cours. Pour l’année grippale 1969/70, cependant, O. Haferkamp a décrit des effets similaires pour les décès dus à la grippe. L’hypothèse selon laquelle le SRAS-CoV2 provoquerait des symptômes comme ceux du syndrome de Kawasaki n’a pas encore été confirmée.
Selon l’évaluation de l’ancien médecin-chef, Dr. Gerd Reuther, des médicaments non approuvés pour traiter le COVID-10 ont sans doute été la cause de nombreux ″décès par COVID″. En Allemagne, des suggestions pour une ″utilisation d’urgence″ de médicaments et de produits médicaux avaient été diffusées dans des revues médicales spécialisées telles que The Lancet. En Italie, selon les informations du médecin italien, Dr. Luca Speciani, il y eut même une instruction d’opération écrite émanant du Service de la Santé. Dans le nord de l’Italie, des proches de malades attaquent maintenant le gouvernement régional pour faute professionnelle. Dans la phase initiale de la maladie, les médecins prescrivaient du paracétamol, de la cortisone, des antibiotiques, des agents virostatiques, de l’hydroxychloroquine et une ventilation par intubation en guise que remèdes standard. Les deux premiers médicaments font baisser la réponse du système immunitaire, ce qui peut être utile dans des cas individuels, mais pas comme application standard, les antibiotiques sont inutiles dans une infection virale, mais pèsent sur l’organisme, et l’intubation est très dangereuse surtout pour les patients âgés en raison du risque de blessures, de dommages causés par une surpression excessive et des supra-infections (à germes résistants). La ventilation au masque plus douce, que le RKI avait d’abord déconseillée par crainte des aérosols infectieux, est désormais pratiquée avec succès, explique Dr. Gerd Reuther. Selon le président du RKI, Professeur Lothar Wieler, le traitement par des sérums hyper-immunisants obtenus à partir du sang de patients guéris s’est avéré extrêmement prometteur dans les cas graves. Mais en raison du manque de patients en nombre suffisant depuis avril 2020, les études cliniques nécessaires d’une qualité suffisante ne peuvent plus être menées.
Les enquêtes sur des produits sanguins de la période pré-COVID-19 suggèrent que plus de 80% des personnes seraient immunisées contre le nouveau coronavirus en raison de ses liens familiaux avec d’autres coronavirus de grippes et refroidissements du passé et montrent une immunité cellulaire croisée qui les protège grandement des coronavirus du SRAS qui circulent actuellement. Les enfants, adolescents, parents, éducateurs et enseignants rafraîchissent apparemment cette immunité croisée chaque année sans tomber gravement malades, selon le Dr. Wolfgang Wodarg. Seules les personnes sans une telle mise à jour virale annuelle, c’est-à-dire les personnes âgées vivant seules ou les personnes dont le système immunitaire a été affaibli par une maladie ou un traitement, sont plus sensibles aux complications. C’est elles qu’il est important de protéger.
Une évaluation de 23 études menées à niveau mondial a montré que le taux de mortalité par infection au COVID-19 (IFR) pour les personnes de plus de 70 ans est d’environ 0,12%, pour les personnes de moins de 70 ans, il n’est que de 0,04%. Un examen plus approfondi des statistiques, qui s’appuient sur des bases de données très différentes, montre que les taux de mortalité par infection et leur répartition par âge pour la grippe et les infections au COVID-19/coronavirus ne diffèrent pas sensiblement les uns des autres.
Selon les résultats de l’étude appelée Heinsberg du virologue Prof. Hendrik Streeck, les infections par frottis ne se produisent presque jamais. La transmission par aérosols semble avérée, mais pas avec la dynamique de propagation suspectée très agressive. L’ancien chef de l’Office de la Santé, Dr. Wolfgang Wodarg, rapporte que des études ont révélé que les enfants ne sont généralement guère une source acceptée d’hygiène épidémique, car une immunité collective protectrice se développe rapidement dans leur environnement de manière régulière et sans processus pathologique grave.
Des publications internationales montrent qu’environ 5 à 15% des maladies respiratoires sont causées par ou aussi concomitamment par des coronavirus de grippes et refroidissements. Dr. Wolfgang Wodarg souligne également qu’il est connu depuis longtemps, que dans le cas des maladies respiratoires virales, ces dernières (jusqu’à environ 50%) sont très souvent causées par deux ou même plusieurs types de virus se produisant ensemble ou en succession directe l’un après l’autre. En ce qui concerne les vaccinations antigrippales, le phénomène a été scientifiquement prouvé que celles-ci réduisent le risque de développer la grippe. Cependant, les personnes qui avait été vaccinées contre la grippe souffraient de maladies respiratoires aussi souvent que celles qui n’avaient pas été vaccinées. Selon Dr. Wolfgang Wodarg, la place dans la ronde des virus, libérée par le vaccin anti-grippe, est tout de suite occupée par un autre agent pathogène, par exemple un rhinovirus ou coronavirus. Il est frappant de constater qu’officiellement, il n’y a pratiquement pas eu de décès dus à la grippe en 2020 – contre une moyenne de 8000 décès dus à la grippe et même 25’100 décès de ce type au cours de l’année extrême de 2017/2018. Probablement un soi-disant biais cognitif, une observation particulièrement concentrée et, dans le cas présent, même soutenue financièrement est d’une importance trompeuse alarmante.
Selon l’état actuel de nos recherches au sein de la Commission Coronavirus, nous n’avons pas encore pu déterminer exactement quel est le rôle que le SARS-CoV2 joue dans les maladies du système respiratoire. D’après une évaluation spéciale de l’Office fédéral des Statistiques, il n’y a pas eu de surmortalité en Allemagne au premier semestre 2020. En Allemagne, 2500 à 3000 personnes en moyenne meurent chaque jour. Si le nombre de personnes dont le décès est attribué au COVID-19 est réparti sur les mois précédents, alors en six mois environ 50 personnes sont décédées par jour en lien avec le coronavirus. Sans test, le COVID-19 n’aurait peut-être pas été remarqué comme un processus pathologique indépendant. Les malades et morts du COVID-19 auraient probablement été (à tort) enregistrés comme victimes d’une infection des voies respiratoires causée par une grippe, un rhinovirus ou l’un des coronavirus déjà connus.
Le SARS-CoV2 et les conséquences du confinement
Introduction
La commission Corona a été fondée en juillet 2020 par les avocates Antonia Fischer et Viviane Fischer ainsi que les avocats Dr. Reiner Füllmich et Dr. Jupiter Hoffmann. Elle cherche des réponses aux questions juridiques quant à savoir si les mesures anti-COVID prises par les gouvernements fédéral et régionaux pour combattre une éventuelle surcharge du système de santé (« aplatir la courbe ») et prévenir les décès dus au SRAS-CoV2 conformément aux critères du droit constitutionnel – étaient appropriée, nécessaires et proportionnelles et si les dommages collatéraux qui se sont produits ont été causés intentionnellement de manière coupable. A cet effet, entre le 14 juillet 2020 et le 21 août 2020, un total de 13 réunions d’expert/e/s et de témoins ont été interrogé/es sur la question. Ce court rapport donne un aperçu des conclusions les plus importantes des réunions. Une version plus longue est en préparation et d’autres réunions suivront.
Tout s’arrête – le pic du confinement
En janvier 2020, il est devenu clair et net qu’un soi-disant coronavirus viendrait de Chine pour s’étendre à l’Allemagne et ailleurs. Début mars 2020, les médias ont montré des images effrayantes de malades et de morts en Italie: des hôpitaux surpeuplés, des cercueils et l’armée en état d’urgence sanitaire. Les gouvernements fédéral et régionaux ont décidé, le 22 mars 2020, d’imposer un confinement à toute l’Allemagne, ce qui a eu pour conséquence la fermeture, pendant plusieurs mois, des jardins d’enfants, des terrains de jeux, des écoles, des universités, des théâtres, des salles de concerts, cinémas, restaurants et de tous les commerces dits non essentiels. Les réunions étaient interdites, des règles d’hygiène avaient été imposées et les contacts sociaux restreints (interdiction des visites dans les maisons de retraite et les hôpitaux, exigence de distance entre les individus, etc.). Entre-temps, un allègement des mesures s’est établi dans de nombreux domaines – ouverture des écoles, restaurants, commerces etc. – dans d’autres domaines, les réglementations se sont durcies – par exemple, dans certains cas, des amendes pour le non-port du masque.
Les mesures ont attaqué et attaquent partiellement encore profondément les droits fondamentaux de la population. Sont particulièrement touchées la liberté d’expression (art. 5, al. 1, phrase 1 de la Loi fondamentale), la liberté de religion (art. 4, al. 1 et 2 de la Loi fondamentale), la liberté de l’art (art. 5, al. 3 de la Loi fondamentale loi), la liberté de la science, de la recherche et de l’enseignement (art. 5, al. 3 de la Loi fondamentale), la liberté de choisir et d’exercer une profession (art. 12, al. 1 de la Loi fondamentale), la liberté de réunion (art. 8, al. 1 de la Loi fondamentale), le droit de propriété (art. 14 de la Loi fondamentale), en particulier le droit à l’entreprise commerciale établie et exercée, la liberté de circulation et le libre choix du lieu de résidence (art. 2, al. 2, phrase 2), le droit à l’éducation (art. 26 DUDH), la liberté d’action des partis politiques (art . 21 de la Loi fondamentale), le droit au libre développement de sa personnalité dans le cadre de la liberté générale d’action (art. 2, al. 1 GG).
Dans le débat public, il semblerait que l’équation COVID-positif = infecté = contagieux = malade = condamné à mort, de sorte qu’il convient apparemment de choisir entre des décès potentiels et une restriction des droits à la liberté, en d’autres termes: la vie de la grand-mère contre le renoncement à chanter dans un bar à karaoké. Il est clair que le bien juridique que l’on appelle la vie justifie apparemment toute intrusion.
Dès le début, l’équation très émotionnelle COVID-positif = condamné à mort est incorrecte compte tenu du fait que le taux de mortalité dû au SRAS-CoV2 est extrêmement faible. Selon les déclarations du gouvernement, les mesures prises n’avaient donc jamais pour but d’éviter une catastrophe annoncée, mais devaient servir uniquement à parer aux risques d’une éventuelle surcharge du système de santé pour la population et de manière générale à contrer la propagation du SRAS-CoV2.
La question constitutionnellement conforme et juridiquement pertinente est donc: la relation entre la réduction du risque de contracter le COVID-19 et éventuellement de mourir et le risque (avéré) que les contre-mesures aient des effets négatifs est-elle correcte? En fin de compte, il s’agit de soupeser les risques à la vie. Ce n’est que si le remède n’est pas plus nocif que la maladie qu’une mesure peut être justifiée.
Surtout dans le cas de restrictions massives à la liberté, l’État est obligé de vérifier en permanence si celles-ci sont absolument nécessaires pour éviter le danger, s’il existe des moyens plus doux et/ou si les dommages collatéraux l’emportent, par exemple, sur la protection de la santé. L’État doit constamment et activement s’efforcer d’acquérir des connaissances accrues (par exemple en ce qui concerne la dangerosité du virus, l’augmentation des victimes du confinement) afin de toujours réduire les atteintes aux droits fondamentaux au minimum strictement nécessaire.
à suivre…
Née française en France, je suis tout naturellement passée par le moule cartésien. Mais j’ai également d’autres côtés en moi et suis très ouverte, notamment dans des domaines qui dépassent le pur cadre de Descartes, tel le channeling.
Lorsqu’il y a quelques mois, j’étais sur un site allemand du nom de Okitalk.com, j’avais téléchargé le logiciel Mumble sur mon bureau qui permet de discuter avec des personnes, peu importe où elles se trouvent. Je pensais trouver des personnes intéressantes avec lesquelles on pourrait développer quelque chose. Car pour moi, faire du social est toujours plus important, plus pressant que le bavardage incessant. Mais au bout de quelques semaines, j’avais compris que l’égo dominait et non pas l’égalité des droits.
Au cours de mes conversations avec d’autres personnes sur le mumble, je suis tombée sur un certain Rafaelo qui porte également un autre nom. Sur Twitter il a également un compte au moyen duquel il fournit des informations reçues selon ses dires par channeling. Certains d’entre nous chez Okitalk étaient curieux de voir ce qui allait advenir le fameux 21 décembre 2012 et nous avions suivi ses twits pendant quelques jours. Il disait recevoir des informations directement du monde spirituel ou divin pour être plus précis.
Le 19/12, on a pu lire un discours de Jésus, au milieu d’un lot de mots nouveaux qui ne me disaient rien du tout et qui disaient aussi que nous devions nous préparer à voir arriver des activités solaires de grande violence. Je ne sais pas si Dieter Broers ou d’autres scientifiques éveillés ont remarqué quelque chose, moi, en tout cas rien du tout. Mais c’est un problème mineur, car Jésus annonçait, au travers du channeler, beaucoup de choses qui devaient changer et pour lesquelles il fallait observer les règles suivantes.
« Premièrement: Débranchez tout ce qui est branché sur le réseau électrique dès la première heure du 21 décembre!!! Je veux dire qu’il faut éteindre tous les appareils, réfrigérateurs, congélateurs, tout. De préférence tournez le bouton central d’alimentation en courant électrique. Dans tout cela, il y a un sens profond caché. Vous n’avez pas besoin de me faire confiance, vous être votre propre maître. Je vous donne le conseil divin pour ces jours transformateurs de vie, merveilleux, pleins d’amour. Réunissez-vous en mon nom et louez le Seigneur.
Deuxièmement: Il n’y aura pas de lumière pendant 3 jours. Procurez-vous des cierges et des bougies afin d’avoir de la lumière pendant la journée. Vous n’avez pas besoin de penser à grand chose, juste à ceci: installez-vous bien confortablement, les bougies sont la seule chose à laquelle vous devez penser. Tout le reste n’est pas important, car Dieu s’occupe de tout.
Troisièmement: Dans votre cœur, vous allez sentir une énergie inhabituelle se déployer que vous pourriez confondre avec de légers picotements au niveau du cœur ou des arythmies. Mon conseil: n’allez pas voir votre médecin, mais faites confiance à la protection de Dieu. En général, cette énergie n’est présente que quelques heures. Tout reviendra en ordre après. De petites valves cardiaques artificielles peuvent facilement survivre pendant ces quelques jours. Les personnes qui ont un pacemaker n’ont pas besoin d’avoir peur. L’intérieur du corps peut ressentir du changement en raison d’un métabolisme accru et il peut y avoir des variations de tension mais qui ne sont pas problématiques. Ce ne sera pas une pure partie de plaisir, ce qui vous attend pendant ces trois jours, mais après vous allez avoir le paradis sur terre, car tout ce qui est contraire au divin s’en ira. Vous avez ma parole. »
Concernant la question de l’électricité, il y eut bien sûr de grandes discussions dans nos groupes si on devait débrancher les appareils ou non et quand. Lorsque je fis remarquer que ceux qui avaient de grands congélateurs perdraient tout le contenu, Rafaelo posa la question à son interlocuteur du monde spirituel, on nous répondit que cela ne faisait que quelques centaines d’euros. Je ne dis plus rien, mais n’en pensais pas moins, à savoir que quelques centaines d’euros constituent les revenus de tout un mois de certaines personnes que l’on appelle RMIstes et que ce n’est sûrement pas dans l’esprit de Dieu de laisser pourrir des produits fabriqués, parfois dans la douleur, par d’autres personnes. Je finis par me coucher, me demandais si les autres croyaient ce qu’ils entendaient, s’ils allaient ou non se préparer et de quelle manière.
Le jour suivant, nous recevions le message suivant:
Chers Follower (anglais pour disciples, suiveurs), voici encore un message de Jésus au travers du monde spirituel.
« Chers serviteurs de Dieu et tous ceux qui ne peuvent ou ne pouvaient pas l’accepter. Aujourd’hui, c’est la dernière heure de questions Twitter de cette année. C’est une grande joie pour moi, de parler dans ce cadre avec vous. Mais je dois vous informer de quelque chose: Dans l’un de mes discours, je vous ai parlé de trois règles qu’il fallait observer à partir du 21 décembre. Dans un de ces discours, je vous ai dit de débrancher les appareils électriques, donc aussi les réfrigérateurs et les congélateurs et tout le reste. Des flammes flamboyantes pourraient détruire vos appareils. Aujourd’hui, je peux vous dire que vous n’avez pas besoin de faire tout cela, car Dieu a préparé un plan chaleureux pour vos générateurs. Ainsi, l’ascension sera plus facile que ce qui avait été imaginé. Votre système électrique ne va pas s’écrouler. Je vous prie de me pardonner tout cela. Mes informations n’étaient pas les plus récentes.
Ce n’est que ce matin que j’ai appris la Solution Divine. Je vous prie donc maintenant de vous conformer à Sa Parole: tout n’est pas aussi pénible que je le pensais. Dieu va sensiblement augmenter les vibrations de la terre, mais votre alimentation en courant électrique n’en pâtira pas. Réunissez-vous tous en mon nom et louez le Seigneur. Je me tiens devant vous et dois m’excuser. Je ne voulais pas créer de panique. Lâcher-prise, c’est donc le conseil que je pourrais vous donner. Chers serviteurs de Dieu et tous ceux qui ne connaissent pas Dieu, en fait je voulais vous parler aujourd’hui du soleil, mais je vous ai rendus si confus que je ne peux vous laisser seul avec cela. Laissez-moi donc encore une fois résumer ce que j’ai appris aujourd’hui. […] Maintenant il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une merveilleuse journée, un doux passage vers les Temps Nouveaux et en tout une phase sans peur dans la pénombre. Avez-vous encore une question, alors demandez-moi. Mon ange Gabriel se promène sur votre terre et peut vous aider et conseiller. Je vais garder ma journée d’aujourd’hui libre pour vous et rester ouvert à vos questions. C’est mon devoir, car j’ai créé une grande confusion en vous. »
Sur ton twit, Rafaelo rajoutait à chaque fois la phrase: « Encore un discours plus qu’intéressant de Jésus Christ. Je vous signale que toutes ces déclarations ont été directement channelés et transcrites, sans censure, telles que reçues. Si quelque chose ne devait pas être clair, cela sera sûrement clarifié par la suite. »
En ce qui me concerne, il est clair que certaines personnes voient tout cela de manière très sérieuse, et c’est leur bon droit, mais il y en a d’autres dont je fais partie qui n’arrivent pas à débrancher leur cerveau ni en amour ni en spiritualité! Et voilà que j’ai pouffé de rire lorsque j’ai lu le twit où Jésus disait qu’il avait été mal informé lors de sa récente annonce et qu’il n’était pas au top de l’information. Cela frise le ridicule! Ces êtres divins ont de drôles de côtés trop humains: ils oublient, ils décident de ne pas prendre des rendez-vous pendant une journée! Au regard de millions de personnes qui crient littéralement leur besoin d’aide et dont je ne suis qu’un petit membre, ce n’est, à mes yeux, pas acceptable et je ne peux m’imaginer que quelque chose comme se prendre un jour de libre existe dans le monde spirituel!!!
Voilà donc mon expérience avec le channeling, et ces expériences m’ont littéralement dégoûtée pour un bout de temps du channeling.
Fin décembre 2012 – Clio Caudrier
Nous sommes le premier avril 2021! Le 7 février, j’ai commandé une table pliante sur un site Internet. La livraison était prévue le 22 février.
Comme la table n’était pas là le 22 février, j’ai attendu deux jours avant d’appeler la société qui m’explique qu’en raison du Covid, ils ont des retards de livraison. Il a bon dos le Covid! Mais soit! On me prévient qu’ils seront livrés le 25 mars, de Chine sans doute, et que je serais livrée début avril.
Je prends donc mon mal en patience en attendant le début du mois d’avril. Le 23 mars, je passe dans l’appartement pour lequel est prévue la table, mais qui n’est pas l’appartement où j’habite actuellement. Quelle ne fut pas ma surprise de voir un feuillet de UPS dans ma boîte aux lettres. Je lis 26.03.21, 12:29. J’avais demandé à la société T d’être prévenue et donc j’allais m’arranger pour être présente le 26 mars. Visiblement, elle avait pu être livrée plus tôt et donc m’envoyer ma table plus tôt. Je n’avais pas lu le détail du message. Je trouvais que 12:29 était une heure très précise, mais bon, de nos jours, peu de choses m’étonnent encore.
Le lendemain, je repasse dans l’appartement pour y travailler et je découvre un nouveau message de UPS me signalant qu’ils sont passés le 24/03 et que je peux récupérer ma table à partir de 17h chez UPS rue de Rochefort à l’autre bout de la ville, soit 16 km de chez moi au moins. Et on avait bien entouré la phrase qui dit que c’est la dernière tentative de passage.
L’après-midi même, j’appelle (1) UPS à Paris avec lesquels j’ai une discussion qui aboutit à l’indication d’un déplacement de ma table de la rue de Rochefort à la rue Flora Tristan, un autre dépôt UPS, pour le lendemain 10h du 25/04 . En fait, je suppose que c’est ma table, car je n’ai pas de nouvelle de l’entreprise T et chez UPS, personne n’est capable de me donner la taille du colis (qui a au moins 1,50 m de longueur).
Le lendemain, 26/04, en début d’après-midi, j’arrive rue Flora Tristan. Ma table n’est pas là. Le jeune homme au bureau ne connaît pas mon nom, je ne figure pas dans leur fichier. Je lui montre le fameux papier avec le 26 qu’il lit également ainsi. Je rappelle (2)UPS et j’ai bien sûr une autre personne au bout du fil. Elle m’assure de faire livrer mon colis de Rochefort à Flora Tristan. C’est un vendredi, je n’ai plus qu’à patienter, encore une fois.
Lundi 29/04, toujours rien à Flora Tristan, je rappelle une troisième fois UPS où une autre personne m’annonce qu’elle va s’occuper du transfert du colis et que cela peut durer entre 24 et 48h. Je ne peux m’énerver, je suis enregistrée.
Le 31/03, je rappelle la société A rue Flora Tristan pour voir si mon colis est là avant de me déplacer. Non, toujours pas. Par ailleurs, je découvre sur mon téléphone un message de UPS qui me dit que mon colis est à chercher rue de Rochefort!!! Je n’arrive pas à le croire. En plus, en passant en coup de vent le soir, je découvre un message qui dit que UPS est passé une troisième fois alors que la deuxième, c’est la dernière tentative et comme d’habitude, je n’étais pas prévenue, je n’étais donc pas présente à 11h quand il est passé!
Est-ce que je n’ai eu affaire qu’à des idiots, à un personnel totalement incompétent, incapable en 2021 avec tous les téléphones, e-mails et autres gadgets techniques que nous avons, de faire passer en 24h un colis de la rue de Rochefort à la rue Flora Tristan?
Les femmes sont de plus en plus nombreuses aujourd’hui à vivre seules et à chercher à faire de nouvelles rencontres. Après 50 ans, elles sont mieux préparées, elles sont autonomes financièrement et se sentent beaucoup plus libres.
Le principal bénéfice de l’âge en plus de l’expérience, c’est d’avoir une plus grande confiance en soi, elles connaissent leurs désirs et leur façon de fonctionner, et elles savent ce qu’elles veulent! Après une rupture, un divorce ou un deuil, elles ont fait un travail sur elles-mêmes, pour se retrouver, elles sont bien dans leur tête et épanouies. Elles font des rencontres beaucoup plus facilement que les hommes.
Après 50 ans, elles se sont débarrassées de certaines contraintes, les enfants sont grands, elles ont les moyens financiers qui leur permettent de se sentir libres de vivre la vie qu’elles souhaitent avoir.
Elles sont cependant à la recherche de relations plus vraies, plus simples et plus sincères, rares sont celles qui croquent des amants à tour de bras, pourtant elles n’hésitent pas à exprimer leurs besoins tout en se faisant respecter.
Aujourd’hui, après 50 ans, la femme est de plus en plus désirable, elle sait se mettre en valeur, elle entretient son corps et son aspect physique, elle ne se néglige pas. Beaucoup font encore tourner les têtes, ce qui n’est pas souvent le cas chez les hommes, qui se négligent beaucoup plus avec le temps. Quand ils se retrouvent sur le marché de la séduction, ils se reposent sur leurs acquis d’il y a 30 ans, oubliant complètement que les codes ont changé. Terminé le macho qui se met les pieds sous la table. Du coup les hommes sur les sites de rencontres se plaignent souvent de ne pas réussir à séduire et critiquent ce genre de méthode alors que ce sont eux qui ne sont pas au point.
On assiste à un déséquilibre hommes femmes qui n’est pas à l’avantage des hommes, messieurs, il va falloir faire un effort si vous ne voulez pas rester seuls.
Eléonore Elba
Ceux qui ont été lecteurs de DSDW (= Die Stunde der Wahrheit = L’heure de Vérité, cf. https://revealthetruth.net/) depuis longtemps se souviennent encore des événements de 2012/2013 lorsque le OPPT 1776 Trust avec ses trois administrateurs, Heather Ann Tucci-Jarraf, Caleb Paul Skinner et Hollis Randall Hillner, a utilisé les lois commerciales de l’UCC en vigueur dans le monde entier pour forclore toutes les banques, les gouvernements, y compris le Vatican et saisir leurs actifs au niveau juridique.
La base de la liberté humaine a été posée à cette époque. Beaucoup d’entre nous ont reconnu cette nouvelle liberté et ont commencé à la vivre de différentes manières. Les résultats étaient variés. Certains d’entre nous qui connaissaient le droit et comprenaient les lois des anciens surveillants ont eu du succès, d’autres ont été intimidés et nous avons constatés qu’ils ont connu l’échec et la souffrance. Le jeu du « Et si … » a commencé à jouer son dernier acte. « Et si » nous étions en train de jouer un jeu dans lequel les acteurs représentent d’une part le pouvoir et les ténèbres et d’autre part l’amour pour tout ce qui est et manifestent l’unité de tout être?
Après beaucoup d’agitation, ce sujet a connu une accalmie. Cependant, il y avait toujours encore des gens qui étaient conscients du jeu et qui ne voulaient pas abandonner la partie. Aussi bien sur le plan énergétique que matériel, ils ont fait ce que le grand scénario prévoyait. Les gardiens poursuivent leurs efforts pour asservir le monde et son bien le plus précieux – la source de tout progrès, l’esprit d’invention, le pouvoir créateur de l’homme. Des guerres sans fin, la terreur, les sévices infligés aux enfants dans le monde entier par les supposées élites, la manipulation dans tous les domaines de notre vie pour rester au pouvoir, tout cela est pris en compte par de plus en plus d’individus. Le grand réveil a lieu et se propage de façon exponentielle.
Beaucoup de ceux qui sont proches de Heather Ann Tucci-Jarraf n’ont pas renoncé à chercher accéder à leur valeur, connue depuis longtemps sur cette planète sous le nom de Comptes Directs du Trésor (Treasury Direct Accounts), et à utiliser leur propre valeur dans la vie quotidienne. Ces comptes, tenus secrets par l’élite, ont toujours été utilisés par elles-mêmes à leurs propres fins et ils ont fait du commerce avec les comptes des ignorants. Eh bien, en raison des documents enregistrés à l’UCC par le « OPPT 1776 Trust« , il ne leur est plus possible, depuis décembre 2012 d’accéder aux valeurs de chaque individu. Ces comptes sont liés à chacun de nous via notre ADN et ne peuvent plus être utilisés à mauvais escient.
Début juin 2017, les premiers succès annoncés furent annoncés publiquement sur les réseaux sociaux concernant l’accès aux comptes directs du Trésor. Selon le message du 4 juillet 2017 de Bob Wright, des millions de transactions avaient été effectuées à partir de ces comptes au moment de la sortie de sa vidéo. Les transactions ont été traitées à l’aide de certains codes de tri bancaires de la Federal Reserve Bank et de son propre numéro de sécurité sociale au travers des ACH (Automated Clearing House).
Selon la LOI SUR LE TRANSFERT DE FONDS ÉLECTRONIQUES, les transactions exécutées sont sécurisées et ne peuvent pas être annulées. Avec cette procédure de compensation automatique, les comptes sont comparés. Cela signifie que pour effectuer une transaction réussie, le NOM du titulaire du Tresury Direct Account doit être identique à celui du numéro de sécurité sociale américain et bien sûr au NOM sur la carte de sécurité sociale. Une telle transaction est effectuée directement en ligne avec une confirmation comprenant un numéro de confirmation. En d’autres termes, les données de la carte de sécurité sociale sont comparées à celles du Tresury Direct Account. S’ils correspondent, la transaction est effectuée et immédiatement confirmée.
En cas de retour – selon la loi EFT – la banque est tenue de documenter et de présenter toutes les données qui ont été impliquées dans cette transaction.
Au départ et selon des rapports émanant de personnes concernées sur les réseaux sociaux, beaucoup d’entre eux ont remboursé leurs dettes de carte de crédit, prêts étudiants, hypothèques, etc. sans aucun problème. Selon diverses déclarations sur les réseaux sociaux, le taux de réussite était d’environ 90%. Les participants ont documenté leur succès par des captures d’écran. À partir de la mi-juin 2017, il y a eu plus de retours. Le taux de réussite directe est tombé à environ 50%.
Selon la loi EFT, un éventuel retour doit être clarifié dans les 10 jours. La preuve à donner est du côté de la banque. Si la banque ne fournit rien, la personne défavorisée peut réclamer trois fois le montant du transfert à titre d’indemnisation.
Jusqu’à présent, il s’agit d’un bref résumé d’un long processus qui a pris des années avant que ce scénario ne devienne public. Selon Bob Wright, il avait cet accès dès 2012. Cependant, sur une très courte période de temps.
Quiconque s’est intéressé au sujet de l’homme de paille, aux termes de NOM, PERSONNE, être humain, essence éternelle, pourra plus facilement suivre le scénario que nous développons ici. Tous les autres qui souhaitent en savoir plus peuvent trouver ces sujets sur Internet.
Mais l’histoire continue.
L’un des transferts réussis a été le transfert de fonds du Treasury Direct Account qui portait le nom de RANDALL KEITH BEANE au concessionnaire automobile où Randall avait acheté une caravane d’une valeur d’environ 439’000 $. L’opération a été réalisée et lors de la remise du véhicule dans les locaux de la concession, des shérifs et d’autres entités qui prétendaient être des agents du FBI sans vouloir s’identifier apparurent soudainement. Randy fut jeté au sol et blessé. Il a ensuite été emmené en prison, où il est toujours détenu. Il est accusé de fraude bancaire présumée.
À ce stade, il convient de noter que Randall était en contact constant avec l’ancienne fiduciaire de l’OPPT 1776, Heather Ann Tucci-Jarraf, avant de préparer ses transactions, et était prêt pour un tel cas. Heather a passé plus de 17 ans en tant qu’avocate dans le monde financier et connaît très bien le droit commercial mondial. C’est elle qui l’a représenté comme avocate. En même temps et selon ses propres déclarations enregistrées dans diverses vidéos Youtube, elle a eu des entretiens avec les familles de banquiers. Ils ont réalisé qu’ils avaient perdu le jeu de l’exercice du pouvoir et du contrôle et cherchaient un accord pour donner à tous les habitants de cette planète l’accès à leur valeur illimitée et ainsi mettre fin au jeu du pouvoir.
Le 26 juillet 2017, elle devait avoir un rendez-vous à la Maison Blanche à Washington D.C.. Il n’a jamais eu lieu. Heather a été arrêtée devant son hôtel lors de sa pause-cigarette et depuis, elle est en détention. Il y a eu plusieurs audiences pour déterminer sa PERSONNE. En vain. Heather refuse d’être traitée comme une PERSONNE et de se soumettre ainsi à une juridiction qu’elle a elle-même révélée comme tromperie le 24 décembre 2012 et qu’elle a forclos dans le monde entier.
Lors de la dernière audience du 4 août 2017, la présidente a montré clairement en public à quel «système juridique» nous avons affaire. Pour sa défense, Heather dut recourir à un avocat d’office, car elle n’est plus avocate au barreau. Mais dès que l’on a un avocat du Système juridique, la constitution garantit que tout accusé a le droit de se défendre lui-même. La juge ne l’a pas autorisée à faire cela. Elle a ainsi ouvertement montré que le système juridique n’était destiné qu’à ceux qui ont signé la constitution, mais pas au reste de l’humanité.
Cependant, pour Heather, tout ce processus consiste à révéler et à mettre fin au jeu du pouvoir, au contrôle des autres. Comme déjà mentionné, les banquiers sont prêts pour cela. Cependant, leur préoccupation est qu’ils seront tenus personnellement responsables de leurs actes. Sur ce point, Heather leur a spécifiquement dit que nous sommes tous un et que le jeu doit être terminé. Il n’y a pas de gagnants ni de vaincus. Elle n’exigera pas non plus leur emprisonnement, ni ne les rendront responsables.
Il s’agit de mettre fin au jeu « Et si …« . Le jeu du pouvoir et de l’impuissance, du contrôle et de la soumission. Au niveau interplanétaire, ce jeu est depuis longtemps terminé.
Selon Heather, elle et ses proches travaillent très dur pour mettre très bientôt fin à notre soumission financière, afin que tout le monde sur cette planète puisse exercer son droit, dès sa naissance, à un accès sans entrave à sa propre valeur. Tous cela en pleine responsabilité pour soi-même et tous les autres sur cette planète.
Il y a une foule d’informations sur ce sujet que j’essaie de rassembler ici. La densité des événements est si grande qu’il m’est impossible de fournir des informations actuelles. Ceux qui sont intéressés par ce sujet devraient jeter un œil aux pages en anglais.
La source de ces informations est: https://i-uv.com
Vous en avez marre, comme moi, des capitalistes qui n’arrêtent pas de nous faire payer pour s’enrichir toujours plus et faire de nous leurs esclaves?
Il y a quelques années, je me suis acheté un nouveau portable avec garantie de réparation sur 10 ans, la vraie durabilité et Ubuntu pré-installé. Venant du monde de Windows et ayant pris en grippe leur nouvelle présentation de Windows 10, j’ai très vite appris à me servir d’Ubuntu, d’autant plus que la plupart des logiciels que j’utilisais, comme Open Office, je les connaissais déjà auparavant.
Tout d’abord, je voulais simplement copier l’article de nam1962 (https://dolys.fr/forums/topic/tuto-pourquoi-et-comment-passer-de-windows-linux/), mais j’ai commencé à faire ma propre version et vais donc poursuivre en m’inspirant du site. Si vous souhaitez plus de détails ou d’infos que ce que je vous donne ci-après, veuillez consulter son article très complet.
« Mes amis et contacts pros étaient fatigués des pubs incessantes sur Windows, des sollicitations commerciales sur leur ordinateur, des solutions quasi toujours payantes qui souvent empiraient leur situation.
Après quelques dizaines d’installations d’OS Linux chez des amis ou dans de petites entreprises dont les Windows XP, Vista,7 ,8 ,8.1 ou W10 étaient devenus lents, infestés de malware, virus, mouchards, ransomware et autres barres de recherche parasite, je les ai vus se régaler et avoir l’impression d’avoir un ordi neuf. »
A un moment ou un autre, j’avais aussi une copie illégale de Windows, donc maintenant je ne suis plus dans une situation bancale et illégale, mais j’ai une solution saine et gratuite.
« Ils n’ont pas reconnu leur ordi une fois passé d’un Windows lent à Linux: démarrage en moins d’une minute, surf ultra rapide et bien sûr ordinateur débarrassé des malware et ransomware (qu’il n’attrapera plus!) »
Comme certaines personnes aiment gagner en autonomie, voici quelques suggestions permettant d’installer un système d’exploitation GNU/Linux sur votre ordinateur: gratuitement, en moins d’une heure et avec autant, sinon plus de fonctionnalités.
Mon petit bijou d’ordinateur est maintenant stable, je dirais quasi insensible aux virus, je n’ai pas d’anti-virus, je n’en ai jamais eu sur cet ordinateur. Je ne peux plus faire de comparaison avec un ancien ordinateur, mais on me dit qu’il est aussi rapide au début qu’au bout de 3 ans de bons et loyaux services. Et la durée du matériel est au moins doublée, parce que les fichiers sur le disque dur ne sont pas fragmentés au contraire de ce qui se passe avec Windows.
Les anciennes versions de Windows que d’aucuns préfèrent aux nouvelles (XP, Vista et Windows 7) ne sont plus maintenues, il serait donc bon de passer à autre chose qui est mis à jour régulièrement: Ubuntu! Pour les nouvelles versions comme Windows 8, Windows 8.1 et Windows 10, passer à Linux allège l’ordi et les dépenses!
Tous ceux qui s’intéressent un peu à l’informatique savent que la base, le noyau de Windows et de Linux, c’est le code. Il est fermé et propriétaire pour Windows qui nous le fait payer à mort et il est ouvert et libre pour Linux. Les versions de Linux dont j’ai entendu parler sont Ubuntu, Debian, Xbuntu, Mint et d’autres encore. Si je savais programmer, je me ferais sans doute ma propre version de Linux!!!
Pour continuer la comparaison entre les deux, Windows est payant, Linux est gratuit, on parle également de licence libre. Pour Windows, il faut des antivirus, toujours les payer et en changer fréquemment, sous Linux/Ubuntu, je n’ai aucun anti-virus. Sous Windows, il y a des malwares, des ransomwares ou des rançongiciels (un nom qui ne me plaît pas beaucoup, mais que le correcteur orthographique de Libre Office connaît déjà alors qu’il est tout nouveau pour moi, ce sont des logiciels qui s’installent sur un ordinateur Windows, qui cryptent l’ensemble de son contenu, le rendent donc inutilisable et envoie une demande d’argent, une rançon. Si vous ne payez pas, vous ne pourrez plus jamais utiliser votre ordinateur, des entreprises ont été obligées de fermer ainsi. Elles ont même infecté leurs fournisseurs, leurs clients!
Dans Windows, il y a visiblement maintenant des pubs, quelle horreur, comme si on n’en avait pas assez par ailleurs. Avec Linux, aucune pub, bien évidemment.
Windows envoie en continu des données de votre ordinateur à d’autres sociétés, Linux respecte vos données, ne commercialise pas un seul bit de vos données.
Windows n’est pas personnalisable, alors que Linux l’est, je vous ai donné les noms de quelques personnalisations dont j’ai entendu parler.
Comme c’est le cas pour beaucoup d’appareils ménagers qui ont des obsolescences programmées, un ordinateur Windows vieillit vite, alors qu’un ordinateur sous Linux pas du tout, frais comme au premier jour!
Pour finir, sous Windows, les pilotes sont difficiles à trouver et les logiciels sont presque tous payants alors que sous Linux, les pilotes sont intégrés au noyau!
Et pour les petites entreprises, il n’y a pas photo, c’est une grande économie budgétaire et avant tout une informatique sécurisée et adaptable aux besoins de chaque entreprise.
Sofia D.